Aller au contenu

LFB – Alysha Clark (ASVEL): « Quand j’ai trois jours off, ce sont de véritables vacances pour moi »

20 minutes donne la parole à Alysha Clark (1,80m, 31 ans), l’ailière américaine de l’ASVEL qui possède également le passeport israélien. C’est l’une des meilleures joueuses de la Ligue même si elle n’a pas été retenue dans son Cinq majeur et elle possède le fighting spirit.

20 minutes donne la parole à Alysha Clark (1,80m, 31 ans), l’ailière américaine de l’ASVEL qui possède également le passeport israélien. C’est l’une des meilleures joueuses de la Ligue même si elle n’a pas été retenue dans son Cinq majeur et elle possède le fighting spirit.

« Je pense vraiment que j’ai ça en moi, » dit-elle. « Quel que soit le domaine, j’ai toujours voulu gagner partout. Et puis je n’ai commencé le basket, qu’à 15 ans. J’étais alors tellement loin du niveau de toutes les autres filles que ça a forgé encore davantage mon esprit de compétitrice. Il faut être prête à tout pour l’emporter. Tant qu’à la fin du match, je suis celle qui gagne, ça ne me dérange pas de me sacrifier pour l’équipe, de plonger pour récupérer un ballon perdu ou d’être celle que l’adversaire déteste affronter. »

Depuis 2012, la native de Denver, Colorado, enchaîne chaque saison campagne européenne et WNBA. Et si la finale face à Lattes-Montpellier allait en cinq manches soit jusqu’au 23 mai, Alysha retournerait dare dare aux Etats-Unis car deux jours plus tard est programmé le premier match de WNBA de l’été avec la célébration du titre de championne obtenu par le Seattle Storm il y a un an.

« Si mon corps tient bien le coup, je pense que c’est parce que j’ai commencé très tard le basket. J’ai aussi une coach perso qui planifie mes journées. Je fais très attention à mon alimentation et je fais tout ce qu’il faut pour que mon corps récupère bien. Le coach et le staff gèrent bien ma fatigue aussi en accordant des jours off. Ça m’aide beaucoup et ce n’est pas commun en Europe. Beaucoup de clubs ne parlent que de travail tout le temps mais la récupération a été un facteur clé dans notre parcours jusqu’en finale. Quand j’ai trois jours off, ce sont de véritables vacances pour moi (rire). Et encore, j’ai arrêté la sélection israélienne l’an dernier après trois saisons. C’était une expérience inoubliable mais c’était dur de tout allier. »

Photo: FIBA

Commentaires

Fil d'actualité