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En direct avec Giovan Oniangue (Boulazac) : « Le bon exemple c’est Charles Kahudi »

De retour en fin de saison après une rupture des ligaments croisés subie dès la première journée de championnat, Giovan Oniangue va quitter le Paris-Levallois, son club de toujours, pour le promu Boulazac. Mais avant de rallier le Périgord, l’international congolais continue de s’entraîner pour retr

De retour en fin de saison après une rupture des ligaments croisés subie dès la première journée de championnat, Giovan Oniangue va quitter le Paris-Levallois, son club de toujours, pour le promu Boulazac. Mais avant de rallier le Périgord, l’international congolais continue de s’entraîner pour retrouver son meilleur niveau, et c’est au milieu de l’un de ces entraînements à la Hoops Factory qu’il a accepté en toute décontraction de répondre aux questions de BasketEurope.

Le premier match que tu as joué en pro : Ca devait être en 2011 ou 2012, mais je ne m’en rappelle pas.

Le joueur qui t’a rendu meilleur : Je vais en dire plusieurs : dans ma jeunesse Wilfrid Aka et Vincent Masingue et sur les dernières années Jason Rich.

Un modèle dans le basket : On avait tous nos modèles type LeBron James et consorts en NBA. Mais je ne me suis jamais identifié à un joueur en Pro A. Mais par rapport à ce que je peux apporter à une équipe comme la défense, le bon exemple c’est Charles Kahudi qui est un exemple de dureté, qui travaille et qui shoote.

Le meilleur joueur actuel de ton championnat : [arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]Jason Rich !

Le plus râleur de ton équipe : Louis Labeyrie ! (rires)

Le coach qui t’a le plus marqué : Dans ma jeunesse Jean-Marc Dupraz et en professionnel Greg Beugnot.

Le club où tu aimerais jouer : Le Barça, parce que je suis pour eux au foot.

La salle dans laquelle tu as joué avec le plus d’ambiance : La salle de Pinar Karsiyaka à Izmir en Turquie.

Ton pire souvenir de joueur : Ma blessure.

Ton meilleur souvenir : La Coupe de France (en 2014).

L’adversaire le plus coriace : Je dirais Mykal Riley dans mes premières années et Jason Rich aux entraînements.

Le trophée que tu es le plus fier d’exposer : Champion de France Espoirs.

Ton match référence en carrière : (sans réfléchir) 27 points contre Cholet à Coubertin.

Le match dont tu as le plus honte : Le -45 qu’on prend à Valence en Eurocup (ndlr : -46, défaite 98-52).

Si tu pouvais prendre le move d’un joueur : Le jeu de LeBron James, dans son ensemble, pour la NBA. Et en Europe le jeu de Nando de Colo. C’est différent.

Quel joueur ou quelle équipe rêverais-tu de voir jouer : Le Cleveland de LeBron James après Miami.

Pourquoi portes-tu ce numéro : A Boulazac je vais prendre le 7 parce que c’est le chiffre de la perfection.

Si tu avais une règle à changer dans le basket : Une bonne défense, 1 point. Ou un passage en force aussi, 1 point pour l’adversaire.

Quel est le principal sujet de conversation entre joueurs : Le résumé des matchs NBA chaque matin.

Ton meilleur pote dans le basket : Landing Sané et Andrew Albicy.

Si tu devais choisir quatre mecs pour monter une équipe avec toi qui choisirais-tu : Je prends Andrew (Albicy), Nico (Lang), Ada (Sané) et Louis (Labeyrie). C’est l’équipe du Paris-Levallois quand les cain-ri étaient blessés. On avait mis 20 points à Limoges.

Aimes-tu lire ou regarder les reportages sur toi : Je les lis, mais les gens à qui je parle, j’ai confiance en eux.

Ta principale occupation entre deux entraînements : Soit je dors, soit je suis avec ma femme. Je vais avoir mon enfant, donc ça va être une autre occupation. Et lire.

Si tu ne jouais pas au basket : Porteur de la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ.

Toi après le basket : J’annoncerai Jésus-Christ à travers le monde, la paix aux gens.[armelse][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]

Photo : Karen Mandau

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