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En direct avec… Myles Hesson (Elan Chalon) : « J’aime bien la France, je me vois bien y rester encore quelques années »

Originaire de Birmingham, Myles Hesson (1,98m, 30 ans) débute sa sixième saison en Jeep Elite en poursuivant son aventure à l’Elan Chalon. Chaque année, le Britannique peut se targuer de produire de très bonnes prestations des deux côtés du parquet, peu importe où il joue que ce soit en Angleterre,

Originaire de Birmingham, Myles Hesson (1,98m, 30 ans) débute sa sixième saison en Jeep Elite en poursuivant son aventure à l’Elan Chalon. Chaque année, le Britannique peut se targuer de produire de très bonnes prestations des deux côtés du parquet, peu importe où il joue que ce soit en Angleterre, en Allemagne ou en France. C’est à l’aube de ses 30 ans qu’il a accepté de se prêter au jeu du « En Direct ».

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Quelles sont les différences entre les pays où vous avez joué au niveau du jeu, des entraînements, de l’esprit d’équipe ?

C’est vraiment similaire, le basket reste le basket peu importe où tu vas. Quand tu atteints le haut niveau ça devient globalement plus intense surtout en France.

Est-ce que vous vous rappelez du premier match au niveau pro ?

Non pas vraiment, c’était certainement du côté de Birmingham mais je n’en ai pas souvenir.

Est-ce qu’il y a un joueur ou un coach qui vous a rendu meilleur dans vos performances ?

Sans aucun doute mon coach, Steven Hansell, l’ancien international d’Angleterre. C’est vraiment lui qui m’a enseigné comment jouer et appris à sans cesse m’améliorer. Il est comme un modèle pour moi d’autant plus qu’on vient tous les deux de la même ville.

Est-ce qu’il y a un MVP en Jeep Elite aujourd’hui ?

Non pas spécialement, je n’ai pas encore tout vu donc c’est difficile à dire. En tout cas aux Etats-Unis je dirais LeBron James.

Qui est selon vous le meilleur coach actuellement ?

Le mien bien sûr (rires). Plus sérieusement, on a de la chance d’avoir Julien Espinosa, il donne de bons conseils, j’aime bien sa vision des choses. Il a une bonne méthode pour construire ses entraînements et pour préparer les matchs. C’est vraiment une bonne personne.

Quel est le joueur qui vous a le plus marqué ?

C’est difficile à dire. Je dirais Ray Allen. Quand je le regardais, je comprenais et j’apprenais différentes façon de jouer. C’est lui qui m’a motivé à me battre, prendre confiance en moi et ne jamais avoir peur de l’adversaire.

Après cette saison, vous aurez envie de changer de club ? En France ou ailleurs ?

C’est un peu tôt pour en parler je pense. J’aime bien la France, je me vois bien y rester encore quelques années mais après c’est sûr, je rentrerai chez moi.

Et quel serait votre club de rêve ?

Il y en a pas mal, ça dépend. Je dirais Barcelone tout de même. En Espagne ils ont de très bons joueurs.

Quelle était la salle où vous avez joué avec l’ambiance la plus chaude ?

Le Colisée, c’est vrai qu’à l’Elan Chalon, c’est une très belle arèna. Les gens là-bas, quand tu joues bien (rires), ils s’inclinent et t’acclament fort.

Quel est votre plus beau souvenir dans votre carrière ?

Je dirais la saison dernière quand on a réussi à battre Le Mans. On partait clairement pour perdre et au final on a décroché la victoire tous ensemble.

A l’inverse, quel est votre pire souvenir ?

Le pire ? Quand je me suis cassé la jambe durant un entraînement, fin 2016 ou en 2017 (NDLR: saison à Gravelines-Dunkerque). Je ne me rappelle plus. Ce qui est sûr c’est que la rééducation après fut très difficile.

Quel a été votre adversaire le plus coriace ?

C’est difficile d’en choisir un. Je n’y arrive pas (rires). Le souci, ou pas d’ailleurs, c’est que chaque année on se retrouve face à des équipes plus fortes que d’autres, ça change vraiment tout le temps.

Est-ce que vous avez un match de référence ?

Le match contre Nanterre quand j’étais à Gravelines en 2016-2017. C’était la fin de la saison et on s’est tous donnés à fond et au final pour faire une belle performance. Je m’en rappelle on était tous très fiers.

A contrario, un match dont vous avez honte ?

Je n’en ai pas un en particulier. En fait, c’est plus : dès que je vais mal jouer à un match, peu importe son enjeu, je vais être déçu de moi-même et je vais tout faire pour me corriger par la suite.

Si vous pouviez voler le move d’un joueur, lequel se serait ?

Le fadeway de Jordan. Lui il maîtrisait son art, Michael Jordan sans hésiter.

C’est votre deuxième saison à l’Elan Chalon, qui sont les joueurs dont vous êtes le plus proche ?

Je m’entends bien avec tout l’effectif, mais c’est vrai qu’avec Sean Armand et « Rafi » (Rafaël Menco), je discute davantage.

Et de quoi parlez-vous entre deux entraînements ?

On parle de tout et de rien, ça peut être de la vie en général, la famille, le basket beaucoup aussi, les conversations que finalement tout le monde pourrait avoir. On joue à la console de temps en temps ensemble, on passe de bons moments.

Avec qui monteriez-vous votre meilleur Five ?

Actuellement, je prendrais mon équipe d’Elan Chalon. Il n’y a pas de secret, on a une vraie synergie, on travaille bien tous ensemble.

Pourquoi avoir choisi ce numéro de maillot ?

J’ai tout simplement choisi le numéro 22 parce que c’est le numéro de la maison où j’ai grandi depuis ma naissance.

Où vous voyez-vous après votre carrière de basket ?

Je pense vraiment à être chef d’entreprise. Probablement dans l’industrie sportive que ce soit dans l’évènementiel ou dans l’équipement.

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Quelles sont les différences entre les pays où vous avez joué au niveau du jeu, des entraînements, de l’esprit d’équipe ?

C’est vraiment similaire, le basket reste le basket peu importe où tu vas. Quand tu atteints le haut niveau ça devient globalement plus intense surtout en France.

Est-ce que vous vous rappelez du premier match au niveau pro ?

Non pas vraiment, c’était certainement du côté de Birmingham mais je n’en ai pas souvenir.

Est-ce qu’il y a un joueur ou un coach qui vous a rendu meilleur dans vos performances ?

Sans aucun doute mon coach, Steven Hansell, l’ancien international d’Angleterre. C’est vraiment lui qui m’a enseigné comment jouer et appris à sans cesse m’améliorer. Il est comme un modèle pour moi d’autant plus qu’on vient tous les deux de la même ville.

Est-ce qu’il y a un MVP en Jeep Elite aujourd’hui ?

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Photos : Elan Chalon

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