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Le Conseil Supérieur de Gestion refuse l’engagement de l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez dans le basket professionnel

Très mauvaise nouvelle pour l’Elan Béarnais : en appel, le Conseil Supérieur de Gestion a refusé son engagement aussi bien en Betclic Elite qu’en Pro B.

Très mauvaise nouvelle pour l’Elan Béarnais : en appel, le Conseil Supérieur de Gestion a refusé son engagement aussi bien en Betclic Elite qu’en Pro B.

« La Direction Nationale du Conseil et du Contrôle de Gestion des Clubs Professionnels
(DNCCGCP) de la Ligue Nationale de Basket s’est réunie le 11 juillet 2022 dans le cadre
du recours gracieux sollicité par le club ELAN BEARNAIS PAU LACQ ORTHEZ.
Le Conseil Supérieur de Gestion, sur proposition de la Commission de Contrôle de
Gestion, a décidé de confirmer sa décision de refuser l’engagement du club ELAN
BEARNAIS PAU LACQ ORTHEZ en Championnat de France de Betclic ELITE et PRO B
pour la saison 2022-2023.
Cette notification est donnée pour information et ne remplace en rien la décision
motivée qui sera notifiée au club ELAN BEARNAIS PAU LACQ ORTHEZ par lettre
recommandée avec accusé de réception et anticipée par courriel dans les meilleurs
délais.
Le club a la possibilité de faire appel de cette décision auprès de la FFBB dans un délai
de dix jours ouvrables, » peut-on lire dans un communiqué.

Les propriétaires américains de CSG n’ont donc pas convaincu la DNCCGCP de leur solvabilité et l’Elan Béarnais est plus que jamais au bord du gouffre -une descente en Nationale 3, au mieux en Nationale 1- mais la FFBB peut éventuellement examiner la possibilité d’un plan de reprise.

« En état de mort clinique, l’Elan conserve cependant un espoir de survie. Il passe par un pool de repreneurs que le maire de Pau, François Bayrou, aurait convaincu de venir à son secours et qui se composerait d’investisseurs d’envergure nationale, épaulés par des actionnaires minoritaires. À cette heure, leur identité n’a pas filtré et aucun plan de reprise n’a été présenté. Un premier contact aurait été établi mais le montant exigé par CSG serait jugé trop important par les repreneurs », indique Sud Ouest.

Photo : Elan Béarnais

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