Aller au contenu

Quand Nicolas Batum raconte Marine Johannès dans la presse américaine

Les fulgurances de Marine Johannes au New York Liberty ne passent pas inaperçues aux Etats-Unis et la Normande a droit à un article dans The Athletic écrit par la francophile Lindsay Sarah Krasnoff, qui sait que la WNBA a fait appel depuis l’origine à 13 joueuses françaises et la NBA à 27 garçons.

Les fulgurances de Marine Johannes au New York Liberty ne passent pas inaperçues aux Etats-Unis et la Normande a droit à un article dans The Athletic écrit par la francophile Lindsay Sarah Krasnoff, qui sait que la WNBA a fait appel depuis l’origine à 13 joueuses françaises et la NBA à 27 garçons.

Lindsay Sarah Krasnoff fait aussi un parallèle entre Marine et Nicolas Batum puisque les deux sont nés à Lisieux et ont joué en jeune à Pont-l’-Evêque.

« Elle était déjà folle sur le terrain, » raconte l’ailier des Charlotte Hornets. « Je ne pensais pas qu’elle se retrouverait là où elle est (aujourd’hui). Nous étions juste deux enfants qui jouions à Pont-l-Evêque pour le reste de nos vies. Mais ensuite nous avons grandi. »

Nicolas Batum se souvient d’avoir découvert Marine Johannès lors d’un stage à Houlgate:

« Elle était très jeune mais déjà très talentueuse. Elle avait déjà quelque chose de différent des autres joueuses. Je ne pense pas qu’elle savait ce qu’elle était capable de faire à ce moment-là. Je ne pense pas qu’elle comprenait à quel point elle était bonne. »

The Atletic a également interrogé Katie Smith, la coach de la Normande au Liberty:

« Sa défense est solide », déclare t-elle. « Mais elle peut aller plus loin plutôt que de toujours être une facilitatrice. Elle est juste une très bonne basketteuse qui a des choses qu’on ne peut pas vraiment enseigner comme la vision et la capacité à marquer. »

Sinon, l’anglais de Marine Johannès est meilleur chaque jour, elle adore se balader dans New York City, a visité la Statue de la Liberté et la cuisine japonaise est sa préférée.

Photo: Liberty

Commentaires

Fil d'actualité