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[REDIFF] Guide Jeep Élite 2019-20 – Pau-Lacq-Orthez : Repartir de plus belle

Si l’on se base sur l’histoire et le prestige de l’Élan Béarnais, un exercice achevé sur une 5e place de saison régulière (21 victoires-13 défaites) et une élimination en trois manches en quart-de-finale des playoffs peut laisser en bouche un goût d’inachevé, voire de trop peu. Mais, si l’on s’intér

Si l’on se base sur l’histoire et le prestige de l’Élan Béarnais, un exercice achevé sur une 5e place de saison régulière (21 victoires-13 défaites) et une élimination en trois manches en quart-de-finale des playoffs peut laisser en bouche un goût d’inachevé, voire de trop peu. Mais, si l’on s’intéresse aux chiffres, l’analyse prend une autre tournure. En effet, en 2018-19, Pau-Lacq-Orthez ne disposait que du 8e budget de Jeep Élite et, plus encore, que de la 12e masse salariale. Autrement dit, le club cher au cœur de Pierre Seillant a connu une plutôt belle année, en tenant compte de ses moyens.

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Pourtant, cette saison avait mal commencé, la faute principalement à une erreur de casting à la mène, avec un Jerrel Blassingame (blessé ?) très en-dessous de ce qu’il avait montré l’année précédente à Antibes. Après quatre matchs chaotiques (3 défaites), Laurent Vila prenait le taureau par les cornes et remplaçait le meneur défaillant par une vieille connaissance du championnat français, Mickey McConnell. Dès lors, l’Élan Béarnais reprenait de vives couleurs et s’imposait comme l’une des très bonnes équipes du championnat de France, même si elle connaissait divers coups d’arrêt suite aux blessures de Donta Smith et Léopold Cavalière notamment. En définitive, Pau-Lacq-Orthez achevait la saison sur une frustrante défaite en playoffs face à Nanterre, se montrant par deux fois incapables de gagner à la maison face aux Altoséquanais.

Pour aborder la saison qui s’approche, Didier Gadou, le manager général, et Laurent Vila, le coach, n’ont eu d’autre choix que de remodeler leur effectif en profondeur. Outre Yannick Bokolo, qui prend une retraite bien méritée, tous les joueurs étrangers sont partis, Mickey McConnell surprenant même tout le monde en annonçant lui aussi sa retraite sportive. Et cela n’a pas été sans quelques grincements de dents, Vitalis Chikoko ayant apparemment donné son accord verbal pour prolonger l’aventure dans le Béarn avant de se raviser et de signer aux Metropolitans 92.

Qu’à cela ne tienne, les Palois ont su construire un effectif qui apparaît comme complet et équilibré sur toutes ses lignes. En premier lieu, ils peuvent compter sur les jeunes du club : Yohan Choupas, Digué Diawara, Léopold Cavalière (approché un temps par les Metropolitans, il est resté fidèle à son club formateur) et Thibault Daval-Braquet. Pour encadrer ces prometteuses jeunes pousses, Laurent Vila s’est attaché les services d’une traction arrière très américaine et mêlant expérience et jeunesse, entre Ronald Moore, Tyrus McGee et Matt Mobley. Pau-Lacq-Orthez a également fait ses courses dans sa région, allant chercher à Boulazac l’excellent Travis Leslie et le non moins intéressant pivot franco-néerlandais Nicolas De Jong. Pour compléter la raquette, Petr Cornelie arrive du Mans pour se relancer après trois années moroses alors que le Sénégalais Cheick Mbodj doit apporter sa densité physique et sa défense en complément des talents d’attaquant de Nicolas De Jong.

Sur le papier, l’effectif est plutôt séduisant. Il reste à voir comment tout ce joli monde va réussir à jouer ensemble, sans verser dans l’individualisme – on pense surtout à la traction arrière non-JFL… Il va également falloir que la raquette hausse son niveau de jeu pour se montrer à la hauteur de ses prédécesseurs (pas facile de passer derrière Donta Smith et Vitalis Chikoko…). Si toutes ces conditions sont réunies, l’Élan Béarnais peut envisager de reproduire une saison aussi satisfaisante que la précédente.

Photo : Eric Traversié – Élan Béarnais

Salle : Palais des Sports (7 502 places)

Président : Didier Rey (65 ans)

Départs : Yannick Bokolo (retraite), Mickey McConnell (retraite), Taqwa Pinero, Donta Smith (Metropolitans 92, pige médicale), C.J. Harris, Vitalis Chikoko (Metropolitans 92), Akos Keller (Körmend, Hongrie).

Arrivées : Nicolas De Jong (Boulazac), Petr Cornelie (Le Mans), Travis Leslie (Boulazac), Matt Mobley (Spirou Charleroi, Belgique), Cheikh Mbodj (Torun, Pologne), Tyrus McGee (Sassari, Italie), Ronald Moore (Varèse, Italie)

Ronald Moore – né le 14 juillet 1988 – 1,83m – Poste 1 – Américain

Passé professionnel en 2011 après un cursus universitaire à Siena, le natif de Conshohocken (Pennsylvanie) a bourlingué en Europe entre Pologne, Hongrie et Ukraine avant de passer les cinq dernières saisons en Italie, à Caserte, Pistoia puis Varèse la saison dernière. Celui qui va avoir la lourde charge de prendre la suite de calibres du niveau de Michael Thompson, D.J. Cooper ou Mickey McConnell a réalisé un dernier exercice sans énorme relief au sein d’une équipe demi-finaliste de la FIBA Europe Cup : 9,7 points (34,3 % aux tirs dont 29,8 % à trois-points), 3,3 rebonds et 4,4 passes en championnat italien, 8,7 points (43,7 % aux tirs, 42,5 % à trois-points), 2,4 rebonds et 4,7 passes en coupe d’Europe. Pas forcément un grand shooteur, Ronald Moore devrait surtout s’appliquer à organiser le jeu palois et à passer la balle aux artilleurs maison.

Yohan Choupas – né le 11 mars 2000 – 1,93m – Poste 1/2 – Français

Le jeune meneur formé à Charenton Saint-Maurice avant de fréquenter le Centre Fédéral vient d’effectuer une première saison sous la tunique de l’Élan Béarnais assez accomplie. Plutôt à son avantage avec les Espoirs du club (12,9 points à 37,8 % dont 33,4 % à trois-points, 4,0 rebonds, 4,1 passes pour 12,4 d’évaluation), il est entré 15 fois en jeu en Jeep Élite (3,7 minutes, 1,1 point à 50,7 % aux tirs, 0,5 rebond, 0,2 passe pour 1,3 d’évaluation). Il va devoir hausser son niveau pour trouver du temps de jeu face à la concurrence de Ronald Moore et Tyrus McGee. En épurant son style et en se montrant efficace en défense, il pourrait gagner des minutes.

Tyrus McGee – né le 14 mars 1991 – 1,88m – Poste 1/2 – Américain

Photo : FIBA

Après avoir fait ses premiers pas professionnels en Espagne (Breogan, LEB Oro) puis en Allemagne (Bremerhaven), le natif de Stringtown (Oklahoma) s’est installé en 2014-15 en Italie pour ne pratiquement plus la quitter jusqu’à cette intersaison. Passé par Crémone, Venise et Pistoia, il a fait une « infidélité » à la Botte en début de saison dernière en allant passer 12 matchs en Turquie, à Afyonkarahisar, avant de revenir dans le championnat transalpin à Sassari, club avec lequel il a remporté la FIBA Europe Cup. En Lega A italienne, il valait 9,1 points (48,6 % aux tirs dont 37,5 % à trois-points), 2,3 rebonds et 1,8 passe. Vif, explosif (il a été auteur d’un dunk monumental en finale des playoffs italiens https://www.youtube.com/watch?v=dT05GU8BiN0), il est également bon shooteur de loin mais pas forcément organisateur. Plutôt soliste dans ses premiers matchs de préparation, il devra pourtant prendre le relais de Ronald Moore à la mène. À lui de trouver l’équilibre entre spectacle et rendement collectif.

Matt Mobley – né le 1er septembre 1994 – 1,90m – Poste 2 – Américain

Après avoir cartonné lors de ses deux dernières saisons universitaires à St-Bonaventure (18,5 puis 18,1 points), le natif de Worcester (Massachusetts) a inauguré l’an dernier sa carrière professionnelle à Charleroi, où il a fait admirer ses qualités de scoreur : 16,5 points (46,0 % aux tirs, pour 11,7 shoots par match, 41,5 % à trois-points), 3,2 rebonds et 2,2 passes. Encore jeune, cet arrière assez fin physiquement devrait représenter une véritable menace à trois points. Et il possède une belle marge de progression.

Travis Leslie – né le 29 mars 1990 – 1,93m – Poste 3 – Américain

Photo : BBD

Si les trois recrues de l’Élan Béarnais sur les postes arrières n’ont pas encore foulé les parquets français en match officiel, c’est loin d’être le cas pour Travis Leslie, ailier bien connu et apprécié à Levallois, Villeurbanne et, dernièrement, Boulazac. Au cours de sa carrière, qui l’a vu jouer 10 matchs pour les Clippers en NBA (1,4 point, 0,9 rebond en 2011-12), le natif de Decatur (Géorgie) a un peu fréquenté la G-League (94 matchs en trois saisons pour 14,1 points et 6,1 rebonds) mais s’est surtout fait remarquer en Lituanie (à Siauliai puis à Vilnius) et en Allemagne (à Bayreuth) avant de s’imposer dans le championnat français. L’an dernier, avec Boulazac, il a produit sa meilleure saison statistique en Jeep Élite, avec 12,9 points (51,3 % aux tirs dont 39,4 % à trois-points), 5,9 rebonds et 2,2 passes pour 15,9 d’évaluation. Bondissant, capable d’évoluer sur les postes d’arrière et d’ailier, Travis Leslie est un joueur collectif, actif des deux côtés du terrain, d’une grosse densité physique.

Digué Diawara – né le 3 octobre 1998 – 2,06m – Poste 3/2 – Français

Formé à l’Asvel puis passé par Hyères-Toulon en 2017-18, cet ailier filiforme se voit prêter un important potentiel qu’il lui reste encore à concrétiser. Rapide, doté d’un gros jump, il doit avant tout gagner en constance dans son tir extérieur (27,7 % à trois-points avec Hyères-Toulon, 27,3 % avec Pau-Lacq-Orthez l’an dernier) et soigner sa sélection de tirs. Dans un bon jour, il est capable de belles performances (15 points à 4/5 aux tirs, 19 d’évaluation contre Strasbourg), mais la régularité lui fait encore cruellement défaut. A les armes pour faire bien mieux.

Petr Cornelie – né le 26 juillet 1995 – 2,10m – Poste 4 – Français

Grand espoir du basket français il y a quatre ou cinq ans, Petr Cornelie n’a pas encore confirmé ces attentes. Et ses trois dernières saisons, deux au Mans, l’une à Levallois, semblent même indiquer une stagnation dans l’évolution du grand ailier-fort. En 2015-16, le Calaisien valait au Mans 9,6 points (54,4 % aux tirs dont 43,1 % à trois-points) et 5,4 rebonds pour 11,3 d’évaluation, mais en 2018-19 il n’en était plus qu’à 6,9 points (53,2 % aux tirs, 39,1 % à trois-points) et 3,8 rebonds pour 8,5 d’évaluation, pour un temps de jeu qui diminue. Au contact de Léopold Cavalière, avec qui il va se partager le poste 4, il devrait gagner en dureté et, Laurent Vila l’espère, reprendre sa progression.

Léopold Cavalière – né le 27 avril 1996 – 2,03m – Poste 4/3 – Français

Photo : Eric Traversié – Élan Béarnais

L’Albigeois formé à l’Élan Béarnais est en quelque sorte l’antithèse de Petr Cornelie : plutôt petit pour son poste, jouant près du cercle, intense, dur en défense, beaucoup plus à son aise près du cercle qu’au large (54,6 % aux tirs mais 28,2 % à trois-points la saison dernière). En produisant 7,9 points et 5,6 rebonds pour 10,8 d’évaluation, il a lors du dernier exercice réalisé sa meilleure saison, démontrant une progression constante depuis ses années Espoir. Pour la première fois de sa carrière, il ne va pas jouer derrière un Américain sur son poste, mais avec un autre joueur français encore jeune. Il est clair que ce surcroît de responsabilités ne fait pas peur à ce joueur de caractère.

Nicolas De Jong – né le 15 avril 1988 – 2,10m – Poste 5 – Franco-néerlandais

Comme Travis Leslie, le pivot franco-néerlandais (son père est de cette dernière nationalité) a fait le cours trajet de Boulazac vers Pau pour poursuivre sa carrière pour le moins originale. Jusqu’à 20 ans, l’international néerlandais ne jouait en effet que pour son plaisir avant d’intégrer le centre de formation de Vichy pour une année au terme de laquelle il s’est vu proposer un contrat professionnel. Malgré les blessures qui ont ensuite entaché sa carrière (dont les ligaments croisés du genou en 2012-13, à Strasbourg), Nicolas De Jong a continuellement progressé, entre Strasbourg, Antibes, Cholet, Châlons-Reims (où il finit top-scoreur français en 2016-17, 13,5 points), une escapade espagnole à Saragosse (8,7 points à 54 % aux tirs et 3,8 rebonds) et, l’an dernier, Boulazac. En Dordogne, il a réalisé une belle saison, couronnée d’une sélection au All Star Game, avec 13,5 points (51,4 % aux tirs dont 32,5 % à trois-points), 5,1 rebonds et 13,4 d’évaluation. Pas forcément très vertical ni très à l’aise dans les déplacements latéraux, Nicolas De Jong compense par une belle science du placement et une grande adresse naturelle. Un profil très complémentaire de celui de Cheick Mbodj.

Cheikh Mbodj – né le 1er août 1987 – 2,08m – Poste 5 – Sénégalais (Cotonou)

Photo : Élan Béarnais

Formé en NCAA à l’université de Cincinnati, le natif de Dakar n’y a achevé ses humanités qu’à 26 ans. Ce qui fait que, même à 32 ans passés, il reste un « jeune » joueur professionnel. Passé par la Grèce, l’Italie, la Lettonie et la Pologne, il a effectué une bonne saison dernière à Torun, tournant à 11,8 points (à 56,9 % aux tirs) et 6,1 rebonds pour 15,1 d’évaluation. Bon défenseur, intense, vertical, l’international sénégalais est capable de s’exprimer des deux côtés du terrain avec bonheur.

Thibault Daval-Braquet – né le 15 décembre 1997 – 2,10m – Poste 5 – Français

Après avoir quitté Toulouges à 18 ans, Thibault Daval-Braquet vient de passer trois saisons entre le centre de formation palois et, sur ces deux dernières années, l’équipe première, avec laquelle il a disputé 29 matchs. Encore tendre physiquement, le Niçois a montré qu’il n’avait plus rien à faire en championnat Espoirs (19,0 points et 8,2 rebonds) mais que la marche vers le niveau professionnel était encore haute : 1,6 point (55,5 % aux tirs) et 1,1 rebond pour 2,1 d’évaluation en 4,5 minutes cette saison. Intelligent, travailleur, adroit, il a tous les atouts en main pour progresser.

Photo : Élan Béarnais

Coach:

Laurent Vila – né le 26 septembre 1975 – Français

Intronisé entraîneur en chef en cours de saison 2017-18 en remplacement de Serge Crevecoeur, Laurent Vila a continué sur la lancée de sa belle première demi-saison, conclue par 11 victoires en 16 matchs. Présent à l’Élan Béarnais depuis 1999 (à l’exception de quatre ans d’escapade à Gravelines-Dunkerque et au Mans), il s’est longtemps occupé des Espoirs du club avant de devenir entraîneur adjoint en 2012.

Assistant :

Jimmy Vérove (49 ans) Arnold Bouazza (30 ans)

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Pourtant, cette saison avait mal commencé, la faute principalement à une erreur de casting à la mène, avec un Jerrel Blassingame (blessé ?) très en-dessous de ce qu’il avait montré l’année précédente à Antibes. Après quatre matchs chaotiques (3 défaites), Laurent Vila prenait le taureau par les cornes et remplaçait le meneur défaillant par une vieille connaissance du championnat français, Mickey McConnell. Dès lors, l’Élan Béarnais reprenait de vives couleurs et s’imposait comme l’une des très bonnes équipes du championnat de France, même si elle connaissait divers coups d’arrêt suite aux blessures de Donta Smith et Léopold Cavalière notamment. En définitive, Pau-Lacq-Orthez achevait la saison sur une frustrante défaite en playoffs face à Nanterre, se montrant par deux fois incapables de gagner à la maison face aux Altoséquanais.

Pour aborder la saison qui s’approche, Didier Gadou, le manager général, et Laurent Vila, le coach, n’ont eu d’autre choix que de remodeler leur effectif en profondeur. Outre Yannick Bokolo, qui prend une retraite bien méritée, tous les joueurs étrangers sont partis, Mickey McConnell surprenant même tout le monde en annonçant lui aussi sa retraite sportive. Et cela n’a pas été sans quelques grincements de dents, Vitalis Chikoko ayant apparemment donné son accord verbal pour prolonger l’aventure dans le Béarn avant de se raviser et de signer aux Metropolitans 92.

Qu’à cela ne tienne, les Palois ont su construire un effectif qui apparaît comme complet et équilibré sur toutes ses lignes. En premier lieu, ils peuvent compter sur les jeunes du club : Yohan Choupas, Digué Diawara, Léopold Cavalière (approché un temps par les Metropolitans, il est resté fidèle à son club formateur) et Thibault Daval-Braquet. Pour encadrer ces prometteuses jeunes pousses, Laurent Vila s’est attaché les services d’une traction arrière très américaine et mêlant expérience et jeunesse, entre Ronald Moore, Tyrus McGee et Matt Mobley. Pau-Lacq-Orthez a également fait ses courses dans sa région, allant chercher à Boulazac l’excellent Travis Leslie et le non moins intéressant pivot franco-néerlandais Nicolas De Jong. Pour compléter la raquette, Petr Cornelie arrive du Mans pour se relancer après trois années moroses alors que le Sénégalais Cheick Mbodj doit apporter sa densité physique et sa défense en complément des talents d’attaquant de Nicolas De Jong.

Sur le papier, l’effectif est plutôt séduisant. Il reste à voir comment tout ce joli monde va réussir à jouer ensemble, sans verser dans l’individualisme – on pense surtout à la traction arrière non-JFL… Il va également falloir que la raquette hausse son niveau de jeu pour se montrer à la hauteur de ses prédécesseurs (pas facile de passer derrière Donta Smith et Vitalis Chikoko…). Si toutes ces conditions sont réunies, l’Élan Béarnais peut envisager de reproduire une saison aussi satisfaisante que la précédente.

Photo : Eric Traversié – Élan Béarnais

Salle : Palais des Sports (7 502 places)

Président : Didier Rey (65 ans)

Départs : Yannick Bokolo (retraite), Mickey McConnell (retraite), Taqwa Pinero, Donta Smith (Metropolitans 92, pige médicale), C.J. Harris, Vitalis Chikoko (Metropolitans 92), Akos Keller (Körmend, Hongrie).

Arrivées :  Nicolas De Jong (Boulazac), Petr Cornelie (Le Mans), Travis Leslie (Boulazac), Matt Mobley (Spirou Charleroi, Belgique), Cheikh Mbodj (Torun, Pologne), Tyrus McGee (Sassari, Italie), Ronald Moore (Varèse, Italie)

Ronald Moore – né le 14 juillet 1988 – 1,83m – Poste 1 – Américain

Passé professionnel en 2011 après un cursus universitaire à Siena, le natif de Conshohocken (Pennsylvanie) a bourlingué en Europe entre Pologne, Hongrie et Ukraine avant de passer les cinq dernières saisons en Italie, à Caserte, Pistoia puis Varèse

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Photo : Élan Béarnais

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