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La place des U21 en Europe : Le bilan par pays (2e partie)

Photo d’ouverture : Carlos Alocen – Saragosse (photo : Liga ACB) Après les championnats majeurs classés entre la 6e et la 11e place (à retrouver ICI), voici les cinq premiers de cette hiérarchie.

Photo d’ouverture : Carlos Alocen – Saragosse (photo : Liga ACB)

Après les championnats majeurs classés entre la 6e et la 11e place (à retrouver ICI), voici les cinq premiers de cette hiérarchie.

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Rappelons le classement de la saison passée, de manière à constater l’évolution de ces championnats (où la Belgique n’était pas présente) :

1 – Ligue Adriatique

2 – Lituanie

3 – Espagne

4 – France

5 ex-aequo – Allemagne

5 ex-aequo – Israël

7 – Turquie

8 – Grèce

9 – Italie

10 – VTB League

Et celui des pays classés cette année entre la 6e et la 11e place :

6e ex-aequo : France

6e ex-aequo : Belgique

8e : Turquie

9e : VTB League

10e : Italie

11e : Grèce

5 : Espagne

Saison après saison, la Liga ACB espagnole continue sa « schizophrénie ». Elle donne certes pas mal de temps de jeu à ses U21, mais ceux-ci sont pour une bonne moitié originaires d’autres pays. Et les effectifs sont à la baisse : de 51 joueurs entrés sur le terrain la saison passée, ils sont descendus à 39 alors que ceux qui ont eu du temps de jeu sont descendus de 17 à 14 (7e ex-aequo de notre hiérarchie). Une décrue qui se traduit aussi par une baisse des rendements statistiques, aussi bien pour les U21 responsabilisés que pour les cinq majeur. La baisse est plus forte pour les étrangers que pour les Espagnols, mais elle explique le recul de la Liga ACB dans la hiérarchie, même si elle parvient à se maintenir dans la première moitié du classement.

La stat « qui tue » : 9

Sur 18, le nombre de clubs de Liga ACB faisant jouer régulièrement des U21. Faible.

L’équipe qui joue le jeu : Badalone

La Joventud de Badalone a toujours été réputée pour ses qualités de club formateur. Elle n’y déroge une nouvelle fois pas, en ayant fait entrer 4 U21 au moins une fois sur le parquet, dont 3 ayant de vraies responsabilités. L’un d’eux, Nenad Dimitrijevic, est même le MVP étranger du championnat.

Les MVP : Nenad Dimitrijevic (Badalone), Carlos Alocen (Saragosse) et Usman Garuba (Real Madrid)

Nenad Dimitrijevic – Badalone (Photo : Liga ACB)

Difficile de départager ces trois joueurs. Le premier, Macédonien né en 1998, est le MVP étranger, brillant également en Eurocup (11,9 points et 12,6 d’éval). Le deuxième, meneur de 2000, a vu ses stats progresser : 7,0 points et 7,3 d’éval cette saison contre 5,1 points et 5,5 d’éval la précédente. Quant à Usman Garuba (2002), il est aussi le MVP « all around », s’imposant aussi bien en Liga ACB qu’en Euroleague (4,4 points, 6,4 d’éval). Un futur grand.

Le joueur à suivre : Usman Garuba (Real Madrid)

Usman Garuba – Real Madrid (Photo : Euroleague)

Il n’a que 18 ans mais s’impose déjà dans la rotation d’un club aussi huppé que le Real Madrid par sa mobilité et sa puissance. 4,7 points et 7,9 d’éval en 17,3 mn, des pointes à plus de 20 d’éval sur un match, le Real tient peut-être le successeur de Luka Doncic en sa personne.

Que sont-ils devenus ?

Les MVP 2018-19 : Vlatko Cancar (Denver Nuggets) et Santiago Yusta (Ténérife)

Le Slovène Vlatko Cancar (1997) est parti à l’intersaison en NBA, aux Denver Nuggets. Ou plutôt dans son équipe « filiale » de G-League, Erie BayHawks. Il n’a en effet joué que 14 fois pour les Nuggets, pour 1,2 points et 0,7 rebond (3,2 mn/match) et 10 fois en G-League : 14,4 points et 6,3 rebonds en 28,7 mn sur 10 matchs. Sans doute encore un peu tendre pour les joutes de NBA.

De son côté, Santi Yusta (1997) a quitté le Real Madrid (6,1 points et 7,1 d’éval en 16,0 mn) pour Ténérife, où il commence à s’installer : 9,3 points et 9,1 d’éval en 17,3 mn.

Les joueurs à suivre 2018-19 : Carlos Alocen (Saragosse) et Usman Garuba (Real Madrid)

Voir ci-dessus.

4 : Israël

En matière de responsabilisation de ses U21, le petit pays asiatique (qui joue en Europe pour des questions géopolitiques) fait de louables efforts, qui commencent à porter leurs fruits. Alors qu’ils n’étaient que 30 l’an dernier à avoir foulé un parquet de Winner League, le championnat israélien de première division, ils sont aujourd’hui 43 (5e meilleur total). Et 14 ont du temps de jeu cette saison (7e total ex-aequo) contre 11 la saison passée. Plus encore, la Winner League est passée de 4 U21 ayant droit à plus de 10 mn/match à 9, dont 3 jouant plus de 20 mn/match. Cela se traduit également dans les chiffres, les joueurs responsabilisés et le cinq majeur ayant vu leurs stats largement progresser. Cette saison, ces deux catégories figurent à la 4e place dans la hiérarchie de notre étude, un niveau remarquable pour un championnat ne rassemblant que 12 équipes. La tendance se confirme, Israël fait des efforts pour ses U21.

La stat « qui tue » : 13

Belle progression, de près de 33 %, du nombre de U21 entrés au moins une fois sur le terrain en une saison, de 30 à 43.

L’équipe qui joue le jeu : Maccabi Tel-Aviv

L’équipe-phare du championnat, le « club nation », figure imposante de l’Euroleague, ne donne pas sa part aux chiens en matière de formation. 6 U21 ont eu la possibilité de fouler au moins une fois le parquet, dont 3 de manière régulière. Et 2 d’entre-eux figurent dans le cinq majeur, dont le MVP.

Le MVP : Deni Avdija (Maccabi Tel-Aviv)

Deni Avdija – Maccabi Tel-Aviv (Photo : Euroleague)

Il n’avait pas 19 ans en début de saison, mais il n’en finit pas de progresser. L’ailier israélo-serbe né en 2001, qui valait la saison passée 2,4 points et 1,3 d’éval en 9,4 mn en Winner League, a littéralement explosé cette année : 12,3 points et 15,8 d’éval en 26,6 mn. Sa progression est moins sensible en Euroleague (4,0 points et 3,9 d’éval en 14,2 mn contre 3,9 points et 3,0 d’éval en 6,2 mn l’an passé) mais il en est quand même également le MVP U21. Attendu haut dans la prochaine draft NBA.

Le joueur à suivre : Noam Dovrat (Maccabi Rishon Le Zion)

Noam Dovrat – Maccabi Rishon Le Zion (Photo : FIBA Europe)

L’intérieur (né en 2002) n’avait fait que passer la saison dernière, générant 0,8 point et 0 d’éval en 3,8 mn sur 4 matchs. Cette année, il est entré 21 fois en jeu pour 17,8 mn/match, 4,8 points et 4,6 d’éval. Il est aussi actif en Eurocup : 10 matchs, 14,5 mn, 3,2 points et 0,2 d’éval. Pas mal pour un garçon de 17-18 ans…

Que sont-ils devenus ?

Le MVP 2018-19 : Yovel Zoosman (Maccabi Tel-Aviv)

L’israélo-polonais semble connaître une pause dans sa progression. L’an passé, il valait 7,9 points et 9,2 d’éval en 26,0 mn en Winner League, il n’y est plus, en 25,8 mn, qu’à 7,5 points et 8,1 d’éval. En revanche, en Euroleague, ses stats sont à la hausse : 5,4 points et 5,7 d’éval en 17,4 mn contre 3,0 points et 3,7 d’éval en 14,5 mn l’an passé.

Le joueur à suivre 2018-19 : Deni Avdija (Maccabi Tel-Aviv)

Voir ci-dessus.

3e : Allemagne

C’est la belle surprise de ce classement. Qui eut cru la saison dernière, terminée à la 5e place ex-aequo de notre classement d’alors, que la BBL allemande allait connaître si belle progression ? Certes, le nombre de U21 entrés sur le terrain et responsabilisés a baissé, passant de, respectivement, 56 et 25 à 49 (3e dans la hiérarchie) et 15 (6e). Mais le rendement de ces U21 a connu une belle progression. Ceux ayant du temps de jeu sont passés de 3,8 points et 4,3 d’éval en 11,3 mn à 4,8 points et 5,0 d’éval en 14,1 mn (3e en Europe). Quant au cinq majeur, la progression est importante, de 5,9 points et 6,8 d’éval en 18,1 mn à 8,1 points et 8,8 d’éval en 21,4 mn (3e performance de notre étude également). L’élite U21 allemande est encore restreinte mais de très bon niveau.

La stat « qui tue » : 1

Hormis en VTB League, aucune ligue ne fait jouer de U21 états-uniens. Sauf la BBL. À Ulm, Zachary Ensminger (2001), le fils d’un joueur américain resté en Allemagne après sa carrière, est entré une fois en jeu, pendant une minute, pour une feuille de stats vierge.

Les équipes qui jouent le jeu : Ulm et Bamberg

Difficile de dissocier ces deux équipes, qui font jouer leurs U21 tant en BBL qu’en coupes d’Europe. À Ulm, 7 joueurs sont entrés au moins une fois sur le terrain en BBL, 2 ont du temps de jeu, dont Killian Hayes, le MVP. En Eurocup, les chiffres sont similaires : 4 entrés en jeu, 2 avec du temps de jeu, et Killian Hayes une nouvelle fois MVP.

Pour sa part, Bamberg a fait jouer au moins une fois en BBL 4 U21, dont 3 responsabilisés, l’un d’eux figurant dans le cinq majeur (Louis Olinde, 1998). En BCL, 4 U21 sont entrés sur le terrain, dont 3 avec un bon temps de jeu.

Le MVP : Killian Hayes (Ulm)

Killian Hayes – Ulm (Photo : Eurocup)

Désireux de se tester en coupe d’Europe, le franco-américain (2001) a quitté le cocon choletais pour Ulm. Avec bonheur : avec 11,6 points et 13,5 d’éval en BBL ainsi que 12,8 points et 13,4 d’éval en Eurocup, il a décroché le titre de MVP dans les deux compétitions. Attendu haut lors de la prochaine draft NBA.

Le joueur à suivre : Louis Olinde (Bamberg)

Louis Olinde – Bamberg (Photo : Bamberg)

En dernière année U21 (né en 1998), l’ailier a vu ses stats progresser de belle façon, de 2,8 points et 4,1 d’éval en 12,5 mn la saison passée à 6,8 points et 10,4 d’éval en 23,2 mn. Une évolution à confirmer les saisons à venir.

Que sont-ils devenus ?

Le MVP 2018-19 : Stefan Peno (Alba Berlin)

Embêté par les blessures en 2018-19, il n’a toujours pas repris le chemin des parquets.

Le joueur à suivre 2018-19 : Franz Wagner (Michigan State, NCAA)

Avec l’Alba Berlin la saison passée, l’ailier né en 2001 valait 4,3 points et 5,2 d’éval en 11,2 mn. Il est parti cet été en NCAA, à Michigan State. Il y tourne à 11,6 points et 5,6 rebonds en 30,8 mn.

2e : Lituanie

Toujours au top en matière de U21, la LKL lituanienne ! Certes, elle ne figure pas parmi les ligues faisant jouer le plus de jeunes joueurs, ses 10 clubs n’alignant que 28 jeunes (9e au classement) dont 18 régulièrement (4e), soit 4 de plus que l’an dernier. Mais ces jeunes joueurs présentent un formidable rendement. Aucun autre championnat ne fait mieux en ce qui concerne les stats des U21 entrés au moins une fois sur le parquet ni pour ceux ayant du temps de jeu. Et seule la Ligue Adriatique devance la LKL pour les stats du cinq majeur. Et, pour un temps de jeu en hausse, ces U21 voient leurs stats nettement progresser, surtout en ce qui concerne le cinq majeur : de 8,3 points et 9,5 d’éval en 18,8 mn l’an passé à 10,1 points et 12,3 d’éval en 23,8 mn cette saison. Le renouvellement des forces baltes est assuré !

La stat « qui tue » : 2

Généralement très « lituano-lituanienne », la LKL s’est ouverte cette saison à 3 U21 étrangers, dont les jumeaux grecs Kalaitzakis (1999) qui évoluent à Nevezis. L’ailier Panagiotis y marque 9,5 points et 8,2 d’éval en 24,5 minutes alors que l’arrière Georgios Kalaitzakis figure dans le cinq majeur avec ses 12,2 points et 10,6 d’éval en 28,4 mn.

L’équipe qui joue le jeu : Klaipeda

Le Neptunas Klaipeda donne des responsabilités à ses jeunes joueurs, qui le lui rendent bien. En LKL, ils sont 5 à être entrés en jeu, dont 4 de manière régulière, 2 figurant dans le cinq majeur, dont le MVP, Gytis Masiulis. Idem en BCL, avec 5 joueurs ayant joué au moins une fois, 4 responsabilisés et un finissant MVP, le même Masiulis.

Le MVP : Gytis Masiulis (Klaipeda)

Gytis Masiulis – Klaipeda (Photo : BCL)

Déjà présent dans le cinq majeur la saison passée (9,9 points et 12,4 d’éval en 20,3 mn en LKL), le pivot né en 1998 continue sa progression : 10,3 points et 14,0 d’éval en 23,0 mn en LKL, 11,1 points et 11,1 d’éval en 22,9 mn en BCL. De quoi être nommé deux fois MVP !

Le joueur à suivre : Marek Blazevic (Vilnius)

Pivot né en 2001, il joue au Rytas Vilnius, pour lequel il engendrait déjà l’an dernier 3,4 points et 3,7 d’éval en 6,0 mn, des chiffres pratiquement doublés cette saison : 7,0 points et 7,7 d’éval en 12,2 mn. À voir s’il va continuer à tenir ce rythme.

Que sont-ils devenus ?

Le MVP 2018-19 : Martynas Echodas (Rytas Vilnius)

Né en 1997, l’autre intérieur lituanien d’avenir avec Masiulis poursuit également sa progression. Il valait 8,2 points et 10,9 d’éval en 17,5 mn la saison dernière, il est passé cette année à 9,7 points et 12,6 d’éval en 18,1 mn. Aux portes de la sélection lituanienne.

Le joueur à suivre 2018-19 : Rokas Jokubaitis (Zalgiris Kaunas)

Rokas Jokubaitis – Zalgiris Kaunas (Photo : Euroleague)

Encore un qui suit une progression constante. Le meneur-arrière (2000) joue toujours au Zalgiris, où il enregistre 7,4 points et 8,8 d’éval en 17,1 mn (contre 5,5 points et 5,1 d’éval en 12,2 mn la saison passée) en LKL tout en montrant le bout de son nez en Euroleague : en 10 matchs, il a produit 2,2 points et 2,0 d’éval en 6,3 mn.

1e : Ligue Adriatique

La Ligue Adriatique, qui regroupe les meilleurs clubs de l’ex-Yougoslavie, a peut-être perdu un peu de son lustre mais elle reste une ligue de haut niveau. Où la compétition est féroce entre clubs serbes, croates, bosniens ou slovènes, ce qui explique peut-être que le nombre de U21 y soit en sérieuse baisse : de 45 entrés en jeu l’an dernier, on est passé à 30 (8e dans la hiérarchie), alors que les 32 responsabilisés ont fondu à 19 (3e du classement). Mais cela n’empêche pas l’ABA (l’autre nom de la Ligue Adriatique) de continuer à produire des pépites en grande quantité. Preuve en est le rendement de ces U21, tout juste concurrencés par ceux de la LKL lituanienne. Mais l’élite « yougo » n’a pas d’équivalent, comme le confirme la prédominance du cinq majeur d’ABA, qui vaut 11,6 points et 12,5 d’éval en 24,7 mn.

La stat « qui tue » : 11

Réputée faire jouer des joueurs dès leur plus jeune âge, la Ligue Adriatique déroge un peu aux traditions cette saison. Sur 19 joueurs ayant du temps de jeu, 11 sont nés en 1998 ou 1999 et seulement 1 en 2001 et 2002.

Les équipes qui jouent le jeu : FMP Belgrade et Mega Bemax

Aleksa Radanov – FMP Belgrade (Photo : FMP Belgrade)

« L’autre » club de Belgrade (en sus de l’Étoile Rouge et du Partizan) fait régulièrement jouer ses 4 U21, dont 2 figurent dans le cinq majeur de notre étude. Quant au club appartenant à une agence de joueurs, le Mega Bemax, il fait encore mieux : 5 joueurs ayant foulé au moins une fois le parquet, 4 responsabilisés, 2 dans le cinq majeur et le MVP, Marko Simonovic.

Le MVP : Marko Simonovic (Mega Bemax)

Marko Simonovic – Mega Bemax (Photo : Mega Bemax)

Dans « l’usine à prospects » qu’est le Mega Bemax, le Monténégrin (1999) est celui qui émerge du lot. Après une saison 2018-19 terne (4,2 points et 4,3 d’éval en 8,9 mn), il a explosé cette saison : 16,2 points et 18,1 d’éval en 29,0 mn, des stats proches de celles que présentait Goga Bitadze (MVP de notre étude l’an dernier et aujourd’hui en NBA) la saison passée. Une trajectoire similaire attend-elle le pivot ?

Le joueur à suivre : Roko Prkacin (Cibona Zagreb)

Déjà repéré par les scouts NBA depuis ses performances en championnats d’Europe de jeunes, l’intérieur croate (2002) progresse sagement : de 2,2 points et 2,8 d’éval en 8,0 mn l’an passé à 5,2 points et 3,6 d’éval en 15,0 mn cette saison.

Que sont-ils devenus ?

Le MVP 2018-19 : Goga Bitadze (Indiana Pacers)

MVP incontestable des U21 en Ligue Adriatique, en Euroleague et pour notre étude tout entière la saison passée (15,6 points et 19,0 d’éval en ABA avec Buducnost), le Géorgien (1999) connaît des difficultés à s’adapter à la NBA. Avec les Pacers, il a joué 49 matchs pour 8,3 mn, 3,1 points et 1,9 rebond.

Les joueurs à suivre 2018-19 : Luka Samanic (San Antonio Spurs) et Marko Pecarski (FMP Belgrade)

Luka Samanic (2000) a quitté Ljubljana cet été pour rejoindre les Spurs. Pas tellement ceux de San Antonio, il n’est entré qu’une fois en jeu en NBA, pour 12 minutes pour 0 point et 2 rebonds. Mais surtout pour ceux d’Austin, en G-League, où il a marqué 15,2 points et pris 7,8 rebonds en 28,4 mn. La marche est haute…

Pour sa part, Marko Pecarski (2000), qui se plaignait de son temps de jeu au Partizan, est passé au FMP Belgrade, où il ne joue guère plus : 8,9 mn (et 4,4 points et 4,6 d’éval) contre 7,8 mn (2,1 points et 2,5 d’éval) la saison passée. Une remise en question s’imposerait-elle ?

Prochain article : les championnats « mineurs » et les coupes d’Europe

Pour retrouver l’article introductif de ce dossier, c’est ICI

Pour l’article sur la BBL allemande , c’est ICI

Pour l’article sur l’EBL belge, c’est ICI

Pour l’article sur la Liga ACB espagnole, c’est ICI

Pour l’article sur la Jeep Élite française, c’est ICI

Pour l’article sur l’A1 League grecque, c’est ICI

Pour la Winner League israélienne, c’est ICI

Pour la Serie A1 italienne, c’est ICI

Pour la LKL lituanienne, c’est ICI

Pour la BSL turque, c’est ICI

Pour la Ligue Adriatique, c’est ICI

Pour la VTB League, c’est ICI

Pour la Ligue Adriatique 2, c’est ICI

Pour la Premijere Liga croate, c’est ICI

Pour la SuperLeague 1 russe, c’est ICI

Pour la LKS serbe, c’est ICI

Pour l’Euroleague, c’est ICI

Pour l’Eurocup, c’est ICI

Pour la BCL, c’est ICI

Pour le bilan par pays (1e partie), c’est ICI

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Rappelons le classement de la saison passée, de manière à constater l’évolution de ces championnats (où la Belgique n’était pas présente) :

1 – Ligue Adriatique

2 – Lituanie

3 – Espagne

4 – France

5 ex-aequo – Allemagne

5 ex-aequo – Israël

7 – Turquie

8 – Grèce

9 – Italie

10 – VTB League

Et celui des pays classés cette année entre la 6e et la 11e place :

6e ex-aequo : France

6e ex-aequo : Belgique

8e : Turquie

9e : VTB League

10e : Italie

11e : Grèce

5 : Espagne

Saison après saison, la Liga ACB espagnole continue sa « schizophrénie ». Elle donne certes pas mal de temps de jeu à ses U21, mais ceux-ci sont pour une bonne moitié originaires d’autres pays. Et les effectifs sont à la baisse : de 51 joueurs entrés sur le terrain la saison passée, ils sont descendus à 39 alors que ceux qui ont eu du temps de jeu sont descendus de 17 à 14 (7e ex-aequo de notre hiérarchie). Une décrue qui se traduit aussi par une baisse des rendements statistiques, aussi bien pour les U21 responsabilisés que pour les cinq majeur. La baisse est plus forte pour les étrangers que pour les Espagnols, mais elle explique le recul de la Liga ACB dans la hiérarchie, même si elle parvient à se maintenir dans la première moitié du classement.

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