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(REDIFF) En direct avec Sekou Doumbouya (Limoges) : « Si je n’avais pas joué au basket j’aurais été militaire, comme mon père »

Diamant brut du Limoges CSP, Sekou Doumbouya (2,05m, 18 ans) fait partie des plus grands espoirs du basket français en compagnie des Théo Maledon ou encore Killian Hayes. Passé par Poitiers puis jeté dans le grand bain de la Jeep Elite en signant au sein du prestigieux Limoges CSP, il répond aux que

Diamant brut du Limoges CSP, Sekou Doumbouya (2,05m, 18 ans) fait partie des plus grands espoirs du basket français en compagnie des Théo Maledon ou encore Killian Hayes. Passé par Poitiers puis jeté dans le grand bain de la Jeep Elite en signant au sein du prestigieux Limoges CSP, il répond aux questions du « En Direct ».

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Votre premier match en pro :

Je ne m’en souviens vraiment pas du tout. (Ndlr, le 26 septembre 2015, à 14 ans, Sekou dispute joue 25 minutes en N1 face à Vitré pour 12 points, 5 rebonds et 3 interceptions. Il a joué ses premières minutes (6) en Pro B le 14 octobre 2016 pour 2 points contre Charleville-Mézières).

Le joueur qui vous a rendu meilleur :

Il y en a eu beaucoup. Si je devais en choisir un ou deux, je dirais Kevin Harley et Christophe Léonard. Kevin Harley m’a appris la dureté. C’est quelqu’un de très tonique, qui est tout le temps en mouvement donc je devais toujours être à l’affut. Christophe Léonard m’a inspiré dans le style de jeu. Il a une manière de jouer posée, il est très polyvalent. Il fait beaucoup de choses sur le terrain. J’observais souvent ce qu’il faisait.

Le meilleur joueur actuel de Jeep Elite :

J’avoue que je ne regarde pas. Je suis la Jeep Elite, mais je me concentre sur mon équipe, sur ce qui se passe entre nous et je ne regarde pas ce que font les autres.

Le coach qui vous a le plus marqué :

Jean-Aimé Toupane quand je l’ai eu à l’INSEP.

Le club dans lequel vous rêveriez de jouer :

Mon rêve d’enfant est de jouer en NBA, peu importe l’équipe. Je veux juste jouer en NBA.

La salle dans laquelle vous avez joué avec le plus d’ambiance :

Franchement, Beaublanc ! La fois où ça m’a marqué c’était l’année dernière. C’était au moment des playoffs. Je suis venu faire la visite des infrastructures, rencontrer les gens qui travaillent ici et pendant le match contre Dijon ça m’a vraiment marqué.

Le meilleur souvenir :

Le titre obtenu lors du championnat d’Europe U18 avec l’Equipe de France. C’était en 2016.

Le meilleur joueur avec qui vous avez joué :

Je ne dirais pas meilleur joueur, mais joueur avec lequel j’ai pris le plus de plaisir à jouer, je pense que c’est Lucas Bourhis. Il joue meneur de jeu au BCM Gravelines-Dunkerque. On a joué ensemble à l’époque du Pôle Espoirs du centre. J’arrivais de Fleury-les-Aubrais.

L’adversaire le plus coriace :

Jusqu’à maintenant je n’en ai pas vraiment eu. Mais si je devais en choisir un, je dirais Kevin Harley de Poitiers.

Votre move préféré :

Ah le spin move, c’est mon truc.

Si vous pouviez prendre le move d’un joueur :

Je prendrais le style de jeu de Paul George, il est vraiment très polyvalent et capable de tout faire sur un terrain.

Pourquoi le numéro 45 :

C’est le numéro du département d’Orléans, ma ville, tout simplement (NDLR: le Loiret).

Votre meilleur pote dans le basket :

Je n’en ai pas un en particulier. Je m’entends vraiment bien avec quasiment tous. Tous les basketteurs que j’ai côtoyés sont des potes.

Si vous deviez choisir quatre potes pour monter une équipe avec vous, qui choisiriez-vous :

Je prendrais Lucas Bourhis, Babacar Niasse, Mathis Dossou-Yovo et Benjamin Ngondo.

La ville ou vous avez joué que vous préfèré :

J’ai bien aimé Poitiers. C’est un peu similaire à Limoges, mais c’est vrai que j’étais bien là-bas.

Si vous piuviezchanger une règle dans le basket :

J’enlèverais les fautes techniques (rires).

Est-il la peine de parler aux arbitres :

Oui ! Je trouve que ça en vaut la peine parce que tu peux leur faire changer d’avis. Je trouve que ça rend le jeu plus fun de pouvoir parler un peu avec les arbitres.

Si vous ne jouiez pas au basket :

J’aurais été militaire. Ça m’a toujours interpelé. Mon père est militaire donc je pense que c’est le chemin que j’aurais pris si je n’avais pas joué au basket.

Après le basket :

Je ne me suis pas du tout projeté encore, je n’en ai aucune idée. On verra ou le basket me mène déjà.

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Votre premier match en pro :

Je ne m’en souviens vraiment pas du tout. (Ndlr, le 26 septembre 2015, à 14 ans, Sekou dispute joue 25 minutes en N1 face à Vitré pour 12 points, 5 rebonds et 3 interceptions. Il a joué ses premières minutes (6) en Pro B le 14 octobre 2016 pour 2 points contre Charleville-Mézières).

Le joueur qui vous a rendu meilleur :

Il y en a eu beaucoup. Si je devais en choisir un ou deux, je dirais Kevin Harley et Christophe Léonard. Kevin Harley m’a appris la dureté. C’est quelqu’un de très tonique, qui est tout le temps en mouvement donc je devais toujours être à l’affut. Christophe Léonard m’a inspiré dans le style de jeu. Il a une manière de jouer posée, il est très polyvalent. Il fait beaucoup de choses sur le terrain. J’observais souvent ce qu’il faisait.[/arm_restrict_content]

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Photo : Limoges CSP

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