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Un mini-En Direct avec Jacques Alingue (JDA Dijon)

On propose à nos abonnés la rubrique « En Direct » qui permet d’en savoir davantage sur les joueurs/joueuses. Voici juste un échantillon avec Jacques Alingue, l’intérieur de la JDA Dijon.

On propose à nos abonnés la rubrique « En Direct » qui permet d’en savoir davantage sur les joueurs/joueuses. Voici juste un échantillon avec Jacques Alingue, l’intérieur de la JDA Dijon.

A la question de savoir quel est le premier match qu’il a joué en pro, sa réponse est :

« Je me rappelle de mon premier match en Nationale 3. Je ne sais pas si ça peut compter comme professionnel (sourire). C’était avec l’Electricité de Strasbourg. J’ai dû faire trois matches dans la saison, je suis arrivé en cours de saison, je m’entraînais avec eux, j’étais 11e joueur. J’étais en mode jeune, j’avais des fourmis dans les jambes, je voulais montrer que je voulais jouer. Je me souviens que j’étais tellement excité que j’ai fait un passage en force ! (rires) C’est mon premier souvenir. En LNB, en Pro B, c’est contre Pau, à Souffel. Le meneur c’était Philippe Da Silva, j’avais fait un bon match, et là aussi j’étais excité car c’était la première fois en LNB. C’est un bon souvenir car je sais que l’on finit le match avec la victoire. Parfois, j’ai des petits flashs. »

Quel est le joueur qui l’a rendu meilleur ?

« Il y en a plusieurs. Lorsque j’étais à Souffel, il y avait Abdoulaye Ndoye avec qui je parlais beaucoup pendant les entraînements. Il avait déjà de l’expérience et il m’avait pris sous son aile, il m’a mis sur de bons rails. Il y a aussi Andre Harris lorsque je suis arrivé à Dijon. C’est vraiment un leader dans l’âme et il me parlait beaucoup comme j’étais tout nouveau en Pro A, à l’époque. »

Il faut savoir aussi que le meilleur joueur actuel du championnat est pour lui son équipier David Holston. « Quand il décide de jouer, il est inarrêtable. » Le plus râleur est : « Hugo Invernizzi (Limoges CSP). Pourquoi ? Je le connais, Hugo, c’est un grand râleur. Ce n’est pas méchant. Et puis, je mettrai aussi Antoine Eito (Elan Chalon). Tout le monde sait pourquoi ! » Les coaches qui l’ont le plus marqués sont : « Forcément, je dirai Laurent Legname. J’ai joué longtemps avec lui et, sans parler véritablement de tactique, il m’a inculqué des valeurs de don de soi, d’intensité. Et aussi Stéphane Eberlin (Souffelweyersheim), c’est lui qui m’a lancé. »

Il porte le numéro 10 car c’est le jour de naissance de son fils. Son meilleur pote dans le basket est Jessie Begarin. Il rêve de jouer aux Los Angeles Lakers, mais surtout pas aux Cleveland Cavaliers, son pire souvenir de joueur est « l’annonce du limogeage avec Dounia Issa (NDLR : au Mans lors de la saison 2019-20). Pour moi, en tant que joueur, ça a été une expérience vraiment douloureuse. » L’adversaire le plus coriace : « Zachery Peacock. C’est un adversaire très complet. Il peut shooter à trois-points, il peut driver, il peut poster. C’est très compliqué de défendre sur lui. Il y a aussi Tim Blue. C’est aussi un joueur très complet. »

Enfin, il estime que ça ne vaut pas le coup de discuter avec les arbitres : « J’ai tout essayé. La manière douce, moins amical, en me révoltant, en étant plus méchant, les ignorer. Ça ne marche pas ! Il vaut mieux garder son énergie et rester concentré sur le match. »

Les versions Premium de nos « En Direct » sont bien entendu plus longues !

Photo : FIBA

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