Ce n’est pas si fréquent qu’il y ait un article sur le basket dans Le Journal du Dimanche et que l’on y évoque la Jeep Elite. Même si en l’occurence, il s’agit de Nicolas Batum avant tout joueur des Charlotte Hornets et qui est en piste pour la Coupe du monde.
Mais le Normand, qui possède un petit tiers du capital du club, est aussi le directeur des opérations basket de LDLC ASVEL, et il se dit satisfait du recrutement estival:
« Depuis que je suis à l’ASVEL c’est la première fois que tous nos plans A se concrétisent. Le facteur Euroleague a forcément joué: certaines de nos recrues disposaient d’offres deux à trois fois supérieures. »
L’ailier international met l’accent sur l’investissement que Tony Parker et lui font vis à vis du club:
« Les gens n’ont pas conscience du boulot qu’on abat avec Tony. Quand on est en France, on fait parfois des réunions avec le staff de 6 heures du matin à 18 heures. C’est un projet important et on ne le prend pas à la légère. »
Nicolas Batum précise que s’il fait du scouting pour les garçons comme pour les filles, il laisse les négociations avec les agents à Tony Parker et au président délégué Gaëtan Muller.