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Salaires Pro B 2023-24 – Les Tops-Flops : Les super-affaires Zacharie Perrin et Marcus Santos-Silva

De tout temps, des joueurs ont fait plus que justifier leur salaire alors que d’autres peinaient à se montrer à la hauteur de leurs émoluments. L’examen des salaires de Pro B de cette saison ne déroge pas à la règle, avec de super-affaires d’un côté, des flops retentissants de l’autre.

Zacharie Perrin et Marcus Santos-Silva © FIBA / Pauline Ledez

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Comme leurs homologues de Betclic Élite, les clubs de Pro B sont, à l’intersaison, toujours à l’affut de la perle rare, le joueur peu connu ou n’ayant pas encore exploité tout son potentiel mais qui va apporter à l’équipe pour un petit salaire.

Certains, parce qu’ils ont un budget et une masse salariale plus confortables que d’autres, se penchent également sur le cas des joueurs cotés de la division, voire de celle du dessus, pour atteindre leurs objectifs, souvent la montée. Mais ces joueurs coûtent forcément cher, font partie des plus hauts salaires de Pro B. Et tous n’apportent pas ce que l’on est en droit d’attendre d’eux. Ce qui peut également être le cas de joueurs référencés mais commençant à sentir le poids des années – ceux-là justifient leur salaire non pas pour leurs performances intrinsèques mais par leur expérience et leur importance dans le vestiaire. Bref, il y a des joueurs au rapport qualité-prix très intéressant, nos « tops », d’autres décevants par rapport à leurs émoluments, nos « flops ».

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