C’est le samedi 25 juillet que sonneront les trois coups de la saison WNBA. Une saison tronquée de 22 matches plus les playoffs à huis clos dan un Etat, la Floride, durement secoué par la pandémie de coronavirus.
Les joueuses sont regroupées à l’Académie IMG de Bradenton. Elles ont eu la possibilité d’emmener avec elles leurs enfants et c’est ainsi que Bryson, le fils de la Franco-Américaine, Bria Hartley, est devenue la coqueluche du Phoenix Mercury en faisant l’apprentissage de la photographie.
« Je ne suis pas nécessairement ravie d’être dans la bulle, mais il y a aussi certaines choses dont je dois m’occuper », a déclaré l’internationale à tinsider.com, elle qui gagnera 185 000 $ cette saison, selon capology.com. «Le basketball est mon moyen de gagner ma vie pour subvenir aux besoins de ma famille. J’étais à l’étranger (NDLR: à Galatasaray, en Turquie) et mon fils n’est pas venu avec moi. Je n’allais pas passer encore trois mois dans la bulle sans qu’il soit avec moi.»
Toutes les joueuses n’ont pas fait le choix du regroupement familial. Ainsi Diana Taurasi, 38 ans, pilier du Mercury, neuf fois All-Star, qui a raté la majorité de la saison 2019 en raison de blessures au dos et aux ischio-jambiers, a décidé qu’il serait plus sage pour son épouse, Penny Taylor, et son fils de 2 ans, Leo, de rester à la maison.
Photo: Phoenix Mercury