Que faut-il retenir de cette élimination de la Leaders Cup face au Mans ?
Ce ne sont pas forcément des leçons qu’il faut retenir. On a vraiment deux temps faibles qui nous mettent dedans. Le début de match où on n’est pas dans ce que l’on veut faire, que ce soit en terme d’intensité ou de choix notamment offensifs. Du coup, on leur donne de la relance, du rythme et aussi de la confiance. On sait qu’il y a des joueurs comme (David) DiLeo chez qui ses deux premiers tirs sont décisifs pour la suite de son match. On a laissé ce type de situation. Avec du courage et plus d’application, on revient. On repasse devant mais à un moment donné, on rate des tirs ouverts notamment au début du quatrième quart-temps, mais surtout on redonne deux ou trois situations de rebond offensif. On sait qu’ils s’alimentent beaucoup sur ça, sur de la relance et du rebond offensif. Après, on revient au courage. Ça bascule en leur faveur. Ils méritent leur victoire.
Dans le premier quart-temps, ils ont pris deux fois plus de rebonds que vous notamment offensifs, ce qui était déjà arrivé en saison régulière lors de votre défaite à La Meilleraie. Comment expliquer ça ?
Je n’ai pas de réponse à ça. Effectivement, c’est une clé du match. On sait que c’est l’une de leurs forces. C’est pour ça que l’on revient dans le match, parce que l’on est dans cette maîtrise-là. Le début de match de Delaunay… Ils ont bien joué le coup. On a du mal à l’allumage en ce moment sur les quatre derniers matches. On a réussi à revenir mais le dernier coup de rein a été plus difficile.
C’est la fatigue ? On en parle depuis deux semaines ?