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À la découverte de l’Adidas Arena, en chantier avancé pour accueillir le Paris Basketball

Le site que l’on connaît désormais sous le nom d’Adidas Arena ouvrira ses portes le 31 janvier 2024 et sera la nouvelle résidence du Paris Basketball. Basket Europe vous propose une visite guidée de l’ambitieux équipement de la Porte de Chapelle.

Le site que l’on connaît désormais sous le nom d’Adidas Arena ouvrira ses portes le 31 janvier 2024 et sera la nouvelle résidence du Paris Basketball. Basket Europe vous propose une visite guidée de l’ambitieux équipement de la Porte de Chapelle.

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À l’occasion d’une escapade nocturne organisée par la Paris Entertainment Company – marque ombrelle qui regroupe l’Accor Arena, le Bataclan et la future Adidas Arena – l’impatience est montée d’un cran. Le gros œuvre est terminé, les premières tribunes sont posées et, même s’il manque encore son toit végétalisé, jamais le site n’a été aussi proche de vibrer au son du ballon sur le parquet. C’est en tout cas l’impression que donne le chantier situé porte de la Chapelle (Paris 18e). Il avance à vitesse grand V, malgré un retard initial de livraison de trois mois, ce qui ne remet pas en cause son activité prévue lors des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024.

Pour rappel, l’infrastructure de 26 000 m² accueillera les épreuves de badminton, para-badminton, gymnastique rythmique et para-haltérophilie. Elle est également la seule infrastructure olympique en construction dans Paris intra-muros.

En ce qui concerne les rencontres du Paris Basketball -35 matches y seront programmés si le club joue l’Euroleague- la salle disposera de près de 8 000 places. Mais ce « lieu de vie » – comme aime l’indiquer Nicolas Dupeux, directeur général de l’Adidas Arena – ne se résumera pas qu’à la réception des basketteurs franciliens. Situé dans un nord-est parisien, terre historique où la culture urbaine a pris vie dans les années 80, l’équipement se positionne autour de la rencontre du sport, de la musique, du lifestyle. Plus d’une centaine d’événements verront le jour chaque année dans une Arena capable d’accueillir jusqu’à 9 000 spectateurs.

Paris Entertainment Company, un groupe multi-sites

Avant d’embarquer dans un bus tour direction Porte de la Chapelle, c’est au sein de son Accor Arena vieille de 40 ans que Nicolas Dupeux et son équipe de la toute nouvelle marque ombrelle « Paris Entertainment Company » ont convié leurs invités.

Celui qui se veut être « un concepteur de lieux de vie hybrides construits autour de salles spectacles emblématiques » disposera bientôt de trois salles au positionnement complémentaire. Celle de Bercy et ses plus de 20 000 places pour les concerts, l’Adidas Arena – la raison de ce road trip dans Paris – ainsi que le Bataclan et ses 1 500 places. Trois jauges différentes pour des exploitations aussi variées que possibles au sein de chaque lieu.

Niché dans les hauteurs de l’Accor Arena, au sein de son appartement avec une vue imprenable sur la scène – les amateurs de jeu de mots auront compris le clin d’oeil dans la seconde – Nicolas Dupeux donne le ton de la soirée. Par un premier discours centré sur la multiplication des activités déployées de l’Accor Arena, on apprend l’arrivée prochaine d’un playground 3×3. Le bus s’apprête à partir direction l’Adidas Arena. Les choses sérieuses commencent !

« Tous les clubs de basket français voudront jouer à l’Adidas Arena »

Casque et lunettes pour la protection, bottes et gilet orange pour le côté fashion, nous voici à la Porte de la Chapelle. Après un tour de l’extérieur, il est temps de rentrer dans la future antre du Paris Basketball. Quelques marches d’escaliers plus tard, le coeur du stade s’offre aux visiteurs. Il est 18h30 passées mais les moteurs des camions et grues tournent encore. Après une dizaine de minutes à s’imaginer l’avenir sportif de ce lieu, il est déjà temps de descendre vers l’un d’un des deux gymnases intermédiaires du site.



« Demandez aux équipementiers, à la NBA, à l’Euroleague, à la FIBA, tous vous diront que la ville de Paris est l’épicentre du basket européen », lance – sans hésiter – David Kahn lors de la conférence de presse qui suit la visite guidée. Le président du Paris Basketball rappelle ô combien son nouvel outil sera « la première destination des amoureux du basket à travers le continent, l’épicentre de l’épicentre », en ajoutant avec toute la détermination qu’on lui connaît que « tous les clubs français voudront jouer ici ».

En plus d’accueillir son équipe masculine, le Paris Basketball garde à l’esprit son projet de formation féminine. Avec l’Adidas Arena, cette envie de faire rayonner le basketball féminin est bien ancré dans l’esprit du club parisien, qui avait annoncé en début de saison la mise en place d’un comité exploratoire pour traiter de cette création. Un objectif qui fait écho avec le nom choisi pour le large parvis arboré de l’Arena, baptisé Alice Milliat en hommage à la pionnière du sport féminin.


Présentation du projet par David Kahn, Nicolas Dupeux (directeur général Accor Arena – adidas Arena – Bataclan) et Mathieu Sidokpohou (directeur général Europe du sud d’Adidas) au sein d’un gymnase du site.

La prise de parole de David Kahn a sans doute donné des idées à Nicolas Dupeux. Pour cette première présentation en compagnie des partenaires Paris Basketball et Adidas, le directeur général de la future salle clôture alors la visite non sans une pointe d’émotion et un discours plein d’ambitions :

« Le grand succès de l’Adidas Arena se situe par son contenu, autour de l’équipe, du basket, de la place de Paris dans le basket en France et en Europe. C’est aussi la puissance d’Adidas, du namer, dans le sport mais pas que. C’est faire changer, engager la diversité, l’excellence. Nous sommes très fier d’être arrivé à ce stade, ce n’est pas la pose de la première pierre mais il y a quand même beaucoup d’émotions. Pour nous, ce n’est pas qu’une Arena, c’est aussi un lieu de destination. C’est là où le sport et les infrastructures sportives et d’entertainment peuvent changer la vie, les comportements, avoir une valeur d’élévation. Il y a la salle de basketball mais également deux gymnases pour les scolaires et le quartier ainsi qu’un lieu de vie de 3 500 m². Ce dernier n’était pas une option. L’Arena doit vivre tous les jours et cela passe par ce lieu de vie, qui comprend de la restauration, des boutiques, des terrasses et des espaces d’animation. »

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À l’occasion d’une escapade nocturne organisée par la Paris Entertainment Company – marque ombrelle qui regroupe l’Accor Arena, le Bataclan et la future Adidas Arena – l’impatience est montée d’un cran. Le gros œuvre est terminé, les premières tribunes sont posées et, même s’il manque encore son toit végétalisé, jamais le site n’a été aussi proche de vibrer au son du ballon sur le parquet. C’est en tout cas l’impression que donne le chantier situé porte de la Chapelle (Paris 18e). Il avance à vitesse grand V, malgré un retard initial de livraison de trois mois, ce qui ne remet pas en cause son activité prévue lors des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024.

Pour rappel, l’infrastructure de 26 000 m² accueillera les épreuves de badminton, para-badminton, gymnastique rythmique et para-haltérophilie. Elle est également la seule infrastructure olympique en construction dans Paris intra-muros.

En ce qui concerne les rencontres du Paris Basketball -35 matches y seront programmés si le club joue l’Euroleague- , la salle disposera de près de 8 000 places. Mais ce « lieu de vie » – comme aime l’indiquer Nicolas Dupeux, directeur général de l’Adidas Arena…

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Photo : Basket Europe

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