Il y a environ un mois, la LNB a annoncé mettre en place dès la saison prochaine une sorte de « luxury tax », les clubs de Betclic Élite dont la masse salariale dépasse 40 % du budget total se retrouvant pénalisés financièrement. Outre les débats et critiques que soulèvent cette mesure, il semble pertinent de voir ce que recouvre concrètement un budget.
Lors de sa réunion du 4 avril dernier, le Comité directeur de la LNB a voté, à l’unanimité de ses membres (où figurent les représentants de plusieurs clubs de première division), une « luxury tax », autrement dit une mesure impliquant que les clubs de l’élite ne peuvent consacrer plus de 40 % de leur budget total à leur masse salariale brute consacrée aux joueurs et au staff technique, sous peine de sanction financière. Cette mesure prendra effet dès la saison prochaine et sera appliquée pendant trois saisons, une sorte de « ballon d’essai » en quelque sorte.
Bien qu’ayant été votée à l’unanimité des membres du Comité directeur, et donc des représentants des clubs de Betclic Élite, cette annonce a provoqué de vives réactions, principalement