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Euroleague – Zeljko Obradovic toujours sans victoire : « C’est une histoire fabriquée que le Partizan a de l’argent »

0-3. Dans toute sa très riche carrière, le coach du Partizan Belgrade Zeljko Obradovic n’avait jamais débuté sa saison d’Euroleague aussi péniblement. Après la défaite à domicile contre Milan (75-80), il a enragé contre ceux qui évoquent des renforts à venir.

0-3. Dans toute sa très riche carrière, le coach du Partizan Belgrade Zeljko Obradovic n’avait jamais débuté sa saison d’Euroleague aussi péniblement. Après la défaite à domicile contre Milan (75-80), il a enragé contre ceux qui évoquent des renforts à venir.

Comme Zach Le Day (23 points), Mathias Lessort (12 points, 10 rebonds) a été une fois encore impeccable, mais c’est le collectif serbe qui a fauté. Zeljko Obradovic a mis le doigt sur la source du problème.

« Il faut revenir à la période préparatoire, on a traversé la préparation sans meneur de jeu, Dante (Exum) a eu des soucis lors de la tournée en Espagne, on l’a gardé. Il a eu un problème avec une blessure et c’est pourquoi il n’est pas allé à Moscou (pour un tournoi d’avant-saison), puis (Yam) Madar est revenu. Nous avions un joueur (Ioannis Papapetrou) qui revenait de l’équipe nationale, je lui ai accordé un repos plus long. Certains problèmes se trouvent là. Nous avons commencé la saison sans une préparation adéquate. Je crois en ces joueurs ! »

Puis, d’un ton un peu plus nerveux, il a parlé de renforts…

« Depuis cet été, je lis tellement de noms dans le journal, c’est de la science-fiction. Jusqu’à présent, personne n’est venu me dire que tel ou tel joueur est sur le marché. Qui publie des informations de tel ou tel pays ? Je n’ai aucune idée. Je m’occupe de mes joueurs. C’est vrai, nous chercherons une solution dans ce que nous avons. Dieu sauve-moi. C’est le seul commentaire. Dieu sauve-moi. C’est une histoire fabriquée que le Partizan a de l’argent. Grâce aux fans, le Partizan a un budget respectable pour nous. Il ne me vient pas à l’esprit de critiquer Ostoja Mijailovic (le président) ou Zoran Savić (le directeur sportif). J’ai ce que j’ai. Nous ferons de notre mieux. J’adore le Partizan, je ne ressens aucune pression, c’est pourquoi je suis revenu ici.«

Photo : Euroleague

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