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Eric Bartecheky (coach de Pau) : "Ça nous maintient en vie"

L'Elan Béarnais a rempli ce dimanche une partie de sa mission survie en tombant la JL Boug de Freddy Fauthoux (87-79).

On y voit enfin plus clair dans la deuxième moitié de tableau : toutes les équipes, à partir de la 9e place, ont joué 29 matches et il en reste donc 5 au programme en saison régulière. Malgré sa victoire sur Strasbourg, Fos est toujours bon dernier et Nancy et Pau sont à égalité avec un succès de plus.

Lors de cette victoire sur Bourg, l'Elan a été porté par le trio Michael Stoxkton (25 points à 10/13 aux shoots et 6 passes), Vitalis Chikoko (21 points et 8 rebonds) et Gérald Ayayi (15 points et 7 rebonds). Ils ont cumulé 73 des 106 points de l'évaluation de leur équipe.

« C’était capital de prendre ce match et de revenir sur Nancy, a résumé le coach Eric Bartecheky, rapporte La République des Pyrénées. On a répondu présent. Même si le SLUC joue chez lui mardi, il devra venir chez nous ensuite. Ça nous maintient en vie. Même Fos, qui a gagné ce soir, est encore dans la lutte. Jusqu’au bout, on peut assister à des retournements de situations assez spectaculaires et j’espère qu’on sera dans la partie favorable. Il a jouté : Je suis content ce soir avec la performance de Mike (Stockton) qui a joué 40 minutes, car avec l’absence de Garrett, ça n’a pas été simple pour nous, mais Michael a fait le boulot. Maintenant, à nous de voir si on va être capable de reproduire la même chose mardi face à l’ASVEL, ça, c’est une autre chose. Pour Garrett, nous allons voir avec le staff médical, mais s’il n’a pas pu jouer aujourd’hui, ça peut être compliqué pour lui d’être présent pour l’ASVEL. »

Le coach palois a beaucoup tiré sur le trio sus mentionné puisque Michael Stockton a joué tout le match, Gérald Ayayi 33 minutes et Vitalis Chikoko 30, alors qu'il sort de deux semaines de off et qu'il n'avait pu s'entraîner que deux fois. Pas le choix. L'Elan a joué à 6 joueurs et demi. Et ça sera à peu près comme ça jusqu'au poteau d'arrivée. C'est vivre ou laisser mourir en Béarn.

Photo : Vitalis Chikoko (Tuan Nguyen)

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