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Paris Basketball : Le président David Kahn compare son coach Tuomas lisalo à Gregg Popovich

Le Paris Basketball a bien démarré sa saison dans le championnat de France et en Eurocup, et son président américain David Kahn attend avec impatience l'entrée de son équipe dans l'Adidas Arena de la Porte de la Chapelle, mais ne sait pas quand l'Euroleague viendra la chercher.

Le Parisien lui demande quelles sont les raisons de ce bon départ. Voici sa réponse :

"Il y a plusieurs raisons. La première, c’est notre nouvel entraîneur Tuomas lisalo. Nous avons beaucoup de chances de l’avoir. Il est jeune (41 ans), savant, capable de coacher les joueurs d’une façon très dure mais aussi de leur parler avec respect. Je ne connais qu’un coach qui fait ça aussi bien : Gregg Popovich. Soyons clairs, je ne dis que Tuomas est Popovich, mais ils ont cette même capacité à bousculer les joueurs et de pouvoir aller dîner tranquillement avec eux après. C’est une qualité très rare."

David Kahn assure ne rien savoir des intentions de l'Euroleague à son sujet.

"Je n’ai pas cette réponse. Je n’en sais rien. Notre ambition est de disputer les plus grandes compétitions possibles au plus niveau possible en Europe. Il y a quelques mois, nous avons présenté notre projet à l’Euroleague à Barcelone. Cela, je crois leur a plu. Cette institution privée veut Paris depuis longtemps et il n’y a qu’un club de basket à Paris. Cela arrivera donc peut-être mais quand, en 2024, 2025 ou plus tard ? Je ne sais pas."

Le 11 février, le Paris Basketball va donc faire son entrée dans l'Adidas Arena. Qu'est-ce que cela amènera comme changements pour lui ? David Kahn en est certain :

"Tout, absolument tout. Nous pourrons recevoir nos fans dans de bien meilleures conditions qu’à Carpentier, avec un plus gros confort, des restaurants, des bars, des magasins. Le son, la vue sur le terrain seront fantastiques. J’ai toujours dit qu’il fallait une salle comme celle-ci à Paris. C’était indispensable. Ce sera notre maison, nous n’aurons plus besoin de chercher d’autres lieux symboliques dans Paris. À part peut-être quelques matchs à l’Accor Arena, puisque la même compagnie gère les deux salles, nous ne jouerons plus que là-bas."

Photo : Tuomas lisalo (FIBA)

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