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Spécial salaires Pro B – Caen Basket Calvados, un promu qui a de la ressource

Avec la 8e masse salariale de la division (649 500€ annoncés en début de saison), le CBC n’avait rien d’un promu sur la ligne de départ en octobre dernier. Les Caennais se sont donnés les moyens, non seulement de se maintenir, mais aussi de s’installer durablement en Pro B. Un projet mis à mal par…

Avec la 8e masse salariale de la division (649 500€ annoncés en début de saison), le CBC n’avait rien d’un promu sur la ligne de départ en octobre dernier. Les Caennais se sont donnés les moyens, non seulement de se maintenir, mais aussi de s’installer durablement en Pro B. Un projet mis à mal par de nombreuses blessures.

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Une machine de guerre pour assurer ses arrières

Les cadres de la montée sont toujours là (BJ Monteiro, Bryson Pope, Ludovic Chelle, Thomas Cornely) et leur fidélité est récompensée au niveau financier. A leurs côtés, Caen a misé sur une belle machine de guerre en s’offrant Jarvis Williams, un poste 4 hyperactif auteur d’une saison rookie plus que prometteuse à Boulazac en 2016-2017. Après un premier exercice à 16,7 points et 7 rebonds par match dans le Perigord, le natif de Macon (Georgie) a confirmé cette année dans le Calvados en rendant 16,4 points et 6 rebonds en moyenne. Avec un pareil rendement, l’investissement le plus conséquent de la masse salariale caennaise est rentabilisé.

Le staff dirigeant peut également être crédité d’un bon coup en ayant récupéré l’espoir nancéien Bastien Vautier, une rotation solide à l’intérieur (7,6pts, 6rbds en 19,6 minutes par match) pour un salaire plus que convenable. Celui-ci n’a en revanche rien pu faire face à la cascade de blessure qui a ponctué la saison régulière du CBC qui a alors dû remettre la main au portefeuille afin de s’assurer plus tranquillement un maintien qui n’est, pour l’heure, toujours pas acquis.

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Une machine de guerre pour assurer ses arrières

Les cadres de la montée sont toujours là (BJ Monteiro, Bryson Pope, Ludovic Chelle, Thomas Cornely) et leur fidélité est récompensée au niveau financier. A leurs côtés, Caen a misé sur une belle machine de guerre en s’offrant Jarvis Williams, un poste 4 hyperactif auteur d’une saison rookie plus que prometteuse à Boulazac en 2016-2017. Après un premier exercice à 16,7 points et 7 rebonds par match dans le Perigord, le natif de Macon (Georgie) a confirmé cette année dans le Calvados en rendant 16,4 points et 6 rebonds en moyenne. Avec un pareil rendement, l’investissement le plus conséquent de la masse salariale caennaise est rentabilisé.

Le staff dirigeant peut également être crédité d’un bon coup en ayant récupéré l’espoir nancéien Bastien Vautier, une rotation solide à l’intérieur (7,6pts, 6rbds en 19,6 minutes par match) pour un salaire plus que convenable. Celui-ci n’a en revanche rien pu faire face à la cascade de blessure qui a ponctué la saison régulière du CBC qui a alors dû remettre la main au portefeuille afin de s’assurer plus tranquillement un maintien qui n’est, pour l’heure, toujours pas acquis.

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