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En direct avec Alain Koffi (Gravelines-Dunkerque) : « Je porte mon âge sur mon dos pour montrer aux gens que je ne suis pas trop vieux »

Passé par Le Mans, Rouen et Pau-Orthez, Alain Koffi (2,07m, 34 ans) fait partie des plus anciens joueurs de Jeep Elite. Cet été, il a décidé de quitter l’Elan Béarnais pour découvrir un nouveau club, le BCM Gravelines-Dunkerque. Il répond aux questions du « En Direct ».

Passé par Le Mans, Rouen et Pau-Orthez, Alain Koffi (2,07m, 34 ans) fait partie des plus anciens joueurs de Jeep Elite. Cet été, il a décidé de quitter l’Elan Béarnais pour découvrir un nouveau club, le BCM Gravelines-Dunkerque. Il répond aux questions du « En Direct ».

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Votre premier match en pro :

Alors là, je m’en souviens pas vraiment. C’était avec Le Mans et je sais que j’avais fait un match amical contre Paris, mais je ne me souviens plus de mon premier match officiel.

Le joueur qui vous a rendu meilleur :

Il y en a eu plusieurs. Il y a eu des joueurs, des coachs… En joueur, celui dont j’ai le plus appris je pense que c’est Sandro Nicevic, au Mans (ndlr, il y a joué entre 2002 et 2004). A l’époque, je commençais le basket, il m’a pris sous son aile, il m’a montré pas mal de mouvements et une éthique de travail à suivre. Il m’a aidé aussi tout au long de ma carrière.

Le coach qui vous a le plus marqué :

C’est Vincent Collet ! Il m’a lancé dans ma carrière professionnelle et il m’a aussi relancé en équipe de France. Il a pris une grande place dans ma carrière, il a souvent été là.

Le club dans lequel vous auriez rêvé de jouer :

Sincèrement, quand j’ai commencé le basket, je n’avais pas la prétention de vouloir passer pro. Le fait de signer professionnel dans le club qui m’a formé, Le Mans, c’était quelque part un rêve. Je dirais donc que d’avoir signé au Mans c’était un rêve pour moi.

« Sean May, avec qui j’ai joué à Rouen, était d’une facilité déconcertante en attaque »

La salle dans laquelle vous avez joué avec le plus d’ambiance :

C’était en Grèce quand j’ai joué contre l’Olympiakos. La salle était remplie, c’était énorme !

Le pire souvenir de joueur :

Je ne sais pas si je pourrais en garder un, mais il y a plusieurs choses qui me viennent en tête. Le fait de perdre la finale du championnat de France et il y a aussi les blessures. Quand tu te blesses, ce sont vraiment des moments difficiles à passer, c’est douloureux pour le moral.

Le meilleur souvenir de joueur :

C’est d’avoir remporté tous les titres que j’ai pu gagner, comme le titre de champion de France avec Le Mans, et j’espère maintenant rééditer la performance avec le BCM.

« J’ai eu l’occasion de jouer contre Team USA au Madison Square Garden avec l’Equipe de France donc il y avait une belle ribambelle de joueurs dans cette équipe-là »

Le trophée dont vous êtes le plus fier :

Le trophée de champion de France gagné en 2006 avec Le Mans. Personne ne s’attendait à ce qu’on gagne, mais on l’a fait et ça été une très belle chose pour le club qui a pu nous lancer dans le grand bain, nous les jeunes.

Le meilleur joueur avec qui vous avez joué :

Il y en a eu pas mal… Mais le plus talentueux je dirais que c’est Sean May avec qui j’ai joué à Rouen. Il était d’une facilité déconcertante en attaque.

Le meilleur joueur que vous avez affronté :

J’ai eu l’occasion de jouer contre Team USA au Madison Square Garden avec l’Equipe de France. Il y avait une belle ribambelle de joueurs dans cette équipe-là donc c’est dur d’en sortir un mais je vais dire Kevin Durant.

Votre match référence en carrière :

Pas vraiment eu. Il y a des matchs où j’ai été bon, mais je n’ai pas vécu de match où je me suis dit « ah là t’es en feu tu ne rates rien! ».

« Je n’étais pas un grand fan des études, mais maintenant avec l’âge je me rends compte que c’était utile »

Si vous pouviez prendre le move d’un joueur :

J’aime beaucoup le style de jeu de LaMarcus Aldridge. Un grand poste 4 qui est fort techniquement et qui est capable de s’écarter à trois points comme à deux points, c’est fort. J’aime ce genre de joueur.

Pourquoi le numéro 35 :

En quittant Le Mans en 2014, beaucoup on dit que j’étais fini et que j’étais trop vieux donc depuis cette année-là, je porte mon âge sur le dos. J’aurai 35 ans cette année et je l’affiche sur mon numéro pour montrer aux gens que je ne suis pas trop vieux.

La ville dans laquelle vous avez joué que vous préférez :

J’ai adoré Le Mans parce que j’ai été formé là-bas. Mon passage à Rouen m’a permis de découvrir un autre club et une autre organisation et j’ai adoré la ville de Rouen. Pareil pour Pau, et j’apprends à découvrir Gravelines et j’aime aussi. Je ne suis pas très difficile, partout où je suis passé j’ai eu des bons moments et ma famille aussi a apprécié. Pour moi ça compte beaucoup. Il n’y en a pas une qui sort du lot, du moment que j’y suis bien avec ma famille, c’est le principal.

Principale occupation entre deux entraînements :

Maintenant que j’ai deux enfants, c’est compliqué d’avoir une activité autre que de s’occuper d’eux. J’aime passer du temps avec ma femme et mes enfants, surtout qu’avec les déplacements toute la saison c’est compliqué de les voir. Dès que j’ai du temps j’en profite pour le passer avec eux.

Si vous ne jouiez pas au basket :

C’est une très bonne question… On va dire que je n’étais pas un grand fan des études, mais maintenant avec l’âge je me rends compte que c’était utile. J’aurais continué mes études mais je ne sais pas dans quelle direction.

Après le basket :

Je me rapproche du milieu informatique. Je me forme actuellement dans cette direction et sur les nouvelles technologies. Et je verrai ce que je peux y faire après.

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Votre premier match en pro :

Alors là, je m’en souviens pas vraiment. C’était avec Le Mans et je sais que j’avais fait un match amical contre Paris, mais je ne me souviens plus de mon premier match officiel.

Le joueur qui vous a rendu meilleur :

Il y en a eu plusieurs. Il y a eu des joueurs, des coachs… En joueur, celui dont j’ai le plus appris je pense que c’est Sandro Nicevic, au Mans (ndlr, il y a joué entre 2002 et 2004). A l’époque, je commençais le basket, il m’a pris sous son aile, il m’a montré pas mal de mouvements et une éthique de travail à suivre. Il m’a aidé aussi tout au long de ma carrière.

Le coach qui vous a le plus marqué :

C’est Vincent Collet ! Il m’a lancé dans ma carrière professionnelle et il m’a aussi relancé en équipe de France. Il a pris une grande place dans ma carrière, il a souvent été là.[/arm_restrict_content]

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Photo : FIBA

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