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Les trois jours de Dijon – Episode #2 : En Direct avec Valentin Bigote

Nordiste de naissance, Valentin Bigote vit cette saison son exercice le plus accompli en Pro A. Après avoir fait ses armes en Pro B à Boulogne-sur-Mer, Denain et les deux dernières années à Nantes avec qui il est passé à une victoire d’une montée en Pro A, il a rejoint les rangs de la JDA Dijon.… Co

Nordiste de naissance, Valentin Bigote vit cette saison son exercice le plus accompli en Pro A. Après avoir fait ses armes en Pro B à Boulogne-sur-Mer, Denain et les deux dernières années à Nantes avec qui il est passé à une victoire d’une montée en Pro A, il a rejoint les rangs de la JDA Dijon. Deux dernières saisons durant lesquelles l’ancien Gravelinois s’est révélé comme un véritable scoreur (15,4 points de moyenne la saison dernière). Il répond aux questions du « En Direct ».

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Le premier match que vous avez joué en pro :

C’est difficile parce que j’ai fait des petites entrées en jeu à Gravelines. Mon vrai premier match c’était quand j’étais à Boulogne-sur-Mer. Franchement je ne m’en souviens pas (29 septembre 2012 face à Bourg-en-Bresse, 4 points, 3 rebonds, 1 passe lors de la première journée de Pro B, ndlr).

Le joueur qui vous a rendu meilleur :

Un joueur en particulier non, mais dans tous les clubs où je suis passé, il y a forcément des joueurs qui m’ont aidé. Surtout quand j’étais plus jeune. A Gravelines on avait une bonne équipe et quand tu es avec des joueurs bons, ça aide à progresser.

Le meilleur joueur actuel de votre championnat :

Pour ce qui est des Français je dirais Louis Labeyrie. Mais chez les étrangers c’est difficile parce que pour moi il n’y en a pas un qui sort du lot, ils sont tous forts. Tous ceux qui étaient au All Star Game sont de très bons joueurs.

Le joueur le plus vicieux du championnat :

Je réfléchis aux équipes qu’on a jouées… Je pense c’est Florent Pietrus. En plus j’ai joué avec lui donc je le connais et je sais comment il est.

Le coach qui vous a le plus marqué :

Germain Castano parce que c’est lui qui m’a lancé vraiment en pro.

Le club où vous aimeriez jouer :

Il n’y a pas un club en particulier mais j’aimerais bien jouer en Espagne. C’est un très bon championnat donc forcément je serais content de jouer là-bas. Tous les grands clubs d’Europe font envie : le CSKA, le Barça, le Real…

Au contraire, le club dans lequel vous n’aimeriez pas jouer :

Ca dépend. A l’étranger je n’irai pas n’importe où non plus. J’irais bien en Espagne, j’irais bien en Turquie mais c’est vrai que je ne sais pas si j’irais m’aventurer dans un pays comme le Liban (rires). Ca dépend aussi si tu pars tout seul ou non.

Votre pire souvenir de joueur :

La défaite en finale de Pro B l’année dernière contre Boulazac. C’était le dernier match de la saison et on avait la possibilité de monter donc arriver jusque-là et perdre ça fait chier.

Votre meilleur souvenir de joueur :

Je pense que c’est aussi l’année dernière parce qu’on ne pensait pas vraiment aller jusqu’en finale. Gagner le dernier match à Fos en demi-finale ça a été un très bon souvenir.

L’adversaire le plus coriace :

Je pense Nando De Colo. Je l’ai joué à l’époque où il était à Valence. Quand j’étais à Nancy j’ai aussi joué en Coupe d’Europe donc j’ai rencontré de très bons joueurs, mais je ne me souviens plus.

Votre match référence en carrière :

En Pro B, je n’ai pas de match qui me vient particulièrement en tête. C’est plutôt ma saison dernière dans son intégralité qui a été bonne. En Pro A, cette année à Pau j’ai fait un bon match (18 points, 2 rebonds, 19 d’évaluation).

Votre move préféré :

J’en ai pas particulièrement et puis je ne vais pas les dévoiler non plus (rires) !

Si vous pouviez prendre le move d’un joueur :

Le shoot de Stephen Curry.

Pourquoi portez-vous le 8 :

J’ai souvent porté le numéro 8 quand j’étais jeune dans mes années de minime et de cadet. Après j’ai dû changer pas mal de fois parce que le 8 était souvent pris par un joueur. J’ai eu le 5, j’ai eu le 10. J’ai dû le prendre parce qu’il n’y avait que celui-là qui m’intéressait. Là j’avais le choix et j’ai décidé de le reprendre. A l’époque peut-être que je l’aimais bien pour Kobe.

Si vous aviez une règle à changer dans le basket :

Les 3 secondes. Même si les arbitres ne les sifflent pratiquement plus. Sinon je ne vois pas trop ce qu’on peut modifier. On ne peut pas non plus faire n’importe quoi avec les 24 secondes parce que si on les met à 30 ça va être trop long. Peut-être les marchers, et encore la règle a déjà été modifiée cette saison.

Principal sujet de discussion dans l’équipe :

Call of Duty. On parle pas mal de ça avec les Français parce qu’on joue ensemble. C’est Nicolas Dorez, l’espoir, qui est le meilleur. Sinon on parle vraiment de tout.

Votre meilleur pote dans le basket :

C’est difficile. On va dire Jonathan Rousselle parce que j’ai joué avec lui et c’est comme s’il faisait partie de ma famille parce qu’il est avec ma cousine. Sinon c’est difficile de garder des contacts avec tout le monde. On bouge tout le temps. Il y a plein de joueurs avec qui j’ai bien aimé jouer et avec qui je m’entendais super bien mais après on ne garde pas forcément les contacts.

Si vous deviez choisir quatre mecs pour monter une équipe avec vous, qui choisiriez-vous :

Jonathan Rousselle et Djimmy Djimrabaye parce que j’ai joué avec lui et je l’aime bien. Là il me manque un intérieur et un extérieur. Je prendrais Kurt Cunningham et mon frère. Je n’ai jamais joué avec mon frère (Mathieu Bigote, ndlr).

Votre principale occupation entre deux entraînements :

Déjà entre deux entraînements je n’ai pas beaucoup de temps. Je mange, je regarde la télé, je me repose, j’ai un chien donc je le sors.

La ville où vous avez joué que vous préférez :

Je dirais Nantes parce que j’y ai joué deux ans, il y a beaucoup de choses à faire.

La salle dans laquelle vous avez joué avec le plus d’ambiance :

Boulazac, l’année dernière. C’est une belle salle, il y a vraiment du monde, ils ont un soutien. Ce n’est pas facile de gagner là-bas.

Si vous n’aviez pas été basketteur :

Bonne question, je ne sais toujours pas. J’aurais continué mes études et peut-être que je me serais tourné vers le commerce.

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Le premier match que vous avez joué en pro :

C’est difficile parce que j’ai fait des petites entrées en jeu à Gravelines. Mon vrai premier match c’était quand j’étais à Boulogne-sur-Mer. Franchement je ne m’en souviens pas (29 septembre 2012 face à Bourg-en-Bresse, 4 points, 3 rebonds, 1 passe lors de la première journée de Pro B, ndlr).

Le joueur qui vous a rendu meilleur :

Un joueur en particulier non, mais dans tous les clubs où je suis passé, il y a forcément des joueurs qui m’ont aidé. Surtout quand j’étais plus jeune. A Gravelines on avait une bonne équipe et quand tu es avec des joueurs bons, ça aide à progresser.

Le meilleur joueur actuel de votre championnat :

Pour ce qui est des Français je dirais Louis Labeyrie. Mais chez les étranger c’est difficile parce que pour moi il n’y en a pas un qui sort du lot, ils sont tous forts. Tous ceux qui étaient au All Star Game sont de très bons joueurs.[/arm_restrict_content]

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Photo : FOXAEP

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