Si, comme nous l’avons vu samedi, de nombreux joueurs offrent un rendement statistique à la hauteur de leur rémunération, voire bien supérieur, d’autres sont au contraire des déceptions, produisant peu pour le prix auquel ils sont payés. Même si tout cela doit être nuancé, voici notre « flop 20 ».
Équipe par équipe, et au quotidien, Basket Europe publie son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Betclic Élite. Cet épisode consacré aux « mauvaises affaires du championnat » ainsi que plus de 2 000 articles premium sont exclusivement réservés à nos abonnés, et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés. N’hésitez plus, abonnez-vous.
Maintenant que nous avons dévoilé l’ensemble des salaires des joueurs de Betclic Élite pour cette saison 2021-2022 et les « meilleures » et affaires du championnat, place aux « mauvaises affaires ». Pour les définir, nous avons simplement établi un ratio entre l’évaluation d’un joueur (au 7 février) et son salaire annuel, sous la forme (salaire/évaluation), ce qui nous permet de savoir quel prix « coûte » un point d’évaluation pour chaque joueur. Bien évidemment, cet exercice comporte des limites, ne serait-ce que parce qu’il défavorise les plus hauts salaires, notamment lorsqu’ils font partie d’effectifs pléthoriques où les responsabilités sont diluées, et qu’il ne prend en compte que les matches joués – les blessures ne peuvent entrer en compte (comme par exemple Raymar Morgan, l’un des plus gros salaires du championnat et qui n’a pas encore joué le moindre match avec l’ASVEL).
