Aller au contenu

Nando De Colo : « Je me fous de savoir qui sera le plus gros adversaire »

Présents à l’occasion d’un point presse, les joueurs de l’équipe de France étaient disponibles à l’INSEP pour répondre aux questions des journalistes. MVP de l’Euroleague en 2016, Nando De Colo a notamment réagi aux propos de Pau Gasol qui ne voit pas la France parmi les favoris de la compétition.

Présents à l’occasion d’un point presse, les joueurs de l’équipe de France étaient disponibles à l’INSEP pour répondre aux questions des journalistes. MVP de l’Euroleague en 2016, Nando De Colo a notamment réagi aux propos de Pau Gasol qui ne voit pas la France parmi les favoris de la compétition.

« On verra, les seules fois on n’a pas été attendus on a fait un résultat. Le plus important c’est de se concentrer sur notre équipe, de faire le maximum pour être prêts le jour J et on verra ce qui se passe après. La question qu’on me pose souvent c’est « qui seront les plus gros adversaires ? » perso, je m’en fous! Le plus important c’est de se concentrer sur notre équipe et en fonction, on verra ce qui se passe une fois l’euro commencé. »

International depuis 2008, l’ancien Choletais croit aux capacités de l’Equipe de France qui possède un vivier de joueurs impressionnant sur les postes arrières malgré les retraites et les absences.

« Je pense qu’on a de très bons joueurs, on a de très bons joueurs sur les positions 1, 2 et 3. Est-ce qu’il y a meilleur en Europe ? Je ne sais pas, la Serbie est également très équipée à ce niveau-là, l’Espagne aussi. Le plus important c’est, certes on a des individualités, mais il faut créer un collectif. […] Je ne vais pas changer mon style de jeu. Evidemment, on a des absents et d’autres qui sont retraités, mais on reste une équipe de basket et le basket ça ne se joue jamais tout seul. Ca va être à nous de créer un collectif qui joue bien ensemble et après il y aura de toute façon une hiérarchie avec des leaders au sein de cette équipe et c’est à partir de là qu’on pourra faire de bonnes choses. Le fait d’en faire trop, ça ne marche jamais, on est en Equipe de France parce qu’on a des qualités qui conviennent au sélectionneur, mais en fonction des uns et des autres ça ne sera pas forcément le même rôle que celui qu’on a en club. Ca sera à nous de nous adapter à tout ça. »

Photo : FIBA

Commentaires

Fil d'actualité